Rencontre inattendue
Alyssa, jeune femme aux formes généreuses, avec des seins voluptueux et un cul bien galbé, travaillait dans une entreprise de marketing en tant qu’assistante. Elle avait les cheveux longs et châtains qui tombaient sur ses épaules en cascades ondulées.
Ce jour-là, elle portait une robe d’été légère bleu ciel qui mettait en valeur sa silhouette élancée sans être vulgaire pour autant.
En fin de journée, Alyssa s’était retrouvée seule dans la salle de réunion à finaliser quelques documents avant le week-end.
Soudainement, la porte s’était ouverte brusquement sur Julien – collègue avec qui elle ne se sentait pas vraiment à l’aise – accompagné d’un homme plus âgé dont elle ignorait l’identité.
Leurs regards lubriques avaient fait frémir Alyssa tandis que Julien refermait soigneusement la porte derrière lui. Le regard insistant du duo pesant sur son corps déclencha chez Alyssa un sentiment d’impuissance mêlé à un désir coupable qu’elle ne pouvait expliquer ni contrôler totalement.
Julien rompit le silence en proposant crûment :
« Alors ma belle Alyssa… On va pouvoir jouer tous ensemble maintenant ? »
La jeune femme tenta vainement de protester mais fut rapidement interrompue par l’inconnu:
« Tais-toi et obéis, ma petite salope. »
Alyssa sentit ses joues rougir et son cœur battre à tout rompre. Avant même de pouvoir réagir, Julien l’emmena contre une table en la tirant par les cheveux. La douleur provoqua un gémissement involontaire qui sembla exciter davantage les deux hommes.
L’homme âgé releva sa robe pour dévoiler ses fesses rebondies qu’il caressa avec insistance avant d’y donner une violente claque qui fit sursauter Alyssa.
« Tu aimes ça hein? T’inquiète pas, on va bien s’occuper de toi… », murmura-t-il à son oreille tandis que Julien se déshabillait déjà en souriant cruellement.
Le désarroi et le regret commençaient à envahir l’esprit d’Alyssa alors que les jeux pervers allaient débuter…
Les jeux pervers commencent
L’inconnu ordonna à Alyssa de se mettre à genoux devant Julien, qui exhibait fièrement son érection massive. Malgré l’envie grandissante de résister et d’échapper à cette situation humiliante, la jeune femme obéit en tremblant.
« Allez ma belle, suce-moi bien profond », exigea Julien avec un sourire malsain.
Alyssa approcha sa bouche près du gland turgescent et l’enveloppa timidement de ses lèvres. Elle entama alors une fellation maladroite sous les rires moqueurs des deux hommes. Ses gorges profondes provoquaient des haut-le-cœur chez elle ; chaque fois qu’elle manquait d’étouffer, ils redoublaient leurs injures et leurs ordres vulgaires.
Pendant ce temps, l’homme âgé s’était déshabillé lui aussi et avait commencé à caresser le corps offert d’Alyssa sans aucune retenue. Il pinça violemment ses tétons durcis par le mélange confus de peur et d’excitation ressenti par la jeune femme.
« Hum… T’aimes ça te faire traiter comme une chienne ? », questionna-t-il tout en continuant ses sévices sur le corps frissonnant d’Alyssa.
Julien finit par jouir dans la bouche de la pauvre fille qui tenta tant bien que mal d’avaler toute sa semence épaisse et gluante. L’inconnu attrapa alors Alyssa par les cheveux pour plaquer son visage contre le sol froid de la salle de réunion tandis que Julien se saisissait d’un stylo qui traînait sur la table.
« Maintenant, on va voir si t’es aussi douée avec ton petit cul serré qu’avec ta bouche », lança Julien en introduisant brutalement le stylo dans l’anus d’Alyssa. La jeune femme poussa un cri de douleur et les larmes coulèrent sur ses joues tandis que les deux hommes riaient de plus belle.
L’inconnu s’était mis derrière Alyssa et avait commencé à frotter son sexe contre sa vulve déjà humide malgré elle. Les jeux pervers venaient tout juste de commencer, mais la spirale infernale de l’humiliation ne faisait que s’amorcer pour la pauvre Alyssa…
La spirale infernale de l’humiliation
L’inconnu enfonça brutalement son sexe dans la chatte d’Alyssa alors qu’elle était toujours maintenue au sol, le visage baignant dans ses propres larmes. Il entama des va-et-vient violents et profonds, faisant hurler Alyssa de douleur et de honte.
Pendant ce temps, Julien s’était rhabillé et filmait la scène avec son téléphone portable. « Dis bonjour à la caméra ma salope ! Tout le monde saura quelle petite pute tu es », dit-il en ricanant.
L’inconnu se retira brusquement du vagin d’Alyssa pour venir éjaculer sur son dos, répandant sa semence chaude qui coula lentement jusqu’à ses fesses rougies par les sévices subis.
Sans lui laisser un instant de répit, Julien ordonna à Alyssa de lécher le sol où s’étaient mélangées ses larmes et quelques gouttes de sperme. La jeune femme obéit sans broncher ; elle ne pouvait plus supporter davantage d’humiliations et souhaitait simplement que tout cela se termine au plus vite.
Finalement, les deux hommes semblèrent satisfaits. L’inconnu passa un doigt sous le menton d’Alyssa pour relever son visage défait et lui murmura cruellement : « N’oublie pas que maintenant on a quelque chose contre toi… Si tu veux que personne ne voit cette vidéo, t’as intérêt à être gentille avec nous. »
Avec ces mots glaçants, ils quittèrent la salle en abandonnant Alyssa, recroquevillée sur elle-même et le corps souillé de sperme. La jeune femme se sentait brisée par cette expérience traumatisante qui lui avait fait perdre toute dignité.
En rentrant chez elle ce soir-là, Alyssa prit une longue douche pour tenter d’effacer les traces de cet après-midi cauchemardesque. Mais au fond d’elle, elle savait que la spirale infernale de l’humiliation ne faisait que commencer ; désormais prisonnière des désirs pervers de ses deux bourreaux, il lui serait difficile voire impossible de faire marche arrière…
