connu d’homme jusqu’à cette nuit-là. Je suis grande et mince, avec des seins fermes qui pointent fièrement vers l’avant, mes tétons rosés toujours prêts à être titillés. Mon ventre plat mène à mon pubis légèrement garni de poils soyeux qui cachent mon précieux trésor : ma chatte serrée et innocente.
Ce soir-là, j’étais vêtue élégamment pour rencontrer ce garçon plus âgé que moi, portant une robe noire cintrée en dentelle transparente laissant entrevoir un soutien-gorge assorti et un porte-jarretelles tenant mes bas résille sur mes longues jambes fuselées. Mes talons aiguilles complétaient le tableau de la femme fatale que je désirais incarner.
Nous nous étions rencontrés dans un bar chic où il m’a fait boire quelques verres pour me détendre avant de me proposer de rentrer chez lui pour « discuter ». Une fois arrivée dans son appartement sombre aux allures de donjon érotique, il s’est transformé en véritable pervers expérimenté avide d’assouvir ses fantasmes les plus obscènes sur mon corps innocent.
Il a commencé par me ligoter brutalement avec des cordes rêches qui enserraient ma taille fine et immobilisaient mes bras derrière mon dos. Il a ensuite tiré violemment sur ma culotte en dentelle la déchirant au passage pour découvrir mon intimité vierge qu’il contemplait avec satisfaction perverse.
Souillée et humiliée : la descente aux enfers d’une vierge innocente
Il m’a traînée jusqu’à sa chambre remplie d’objets incongrus destinés à torturer les corps soumis aux caprices de ses désirs sexuels. Il m’a jetée sur le lit et a écarté mes jambes pour me pénétrer sauvagement avec un gode démesurément large qui étirait l’entrée de ma chatte vierge, provoquant des larmes de douleur dans mes yeux.
Alors que je suffoquais sous l’intensité de la douleur, il décida d’enfoncer sa bite épaisse dans ma bouche offerte jusqu’à ce qu’elle touche le fond de ma gorge profonde. J’étouffais presque mais il continuait à s’enfoncer en moi sans relâche, prenant un malin plaisir à voir mon visage rougi par les efforts consentis pour respirer.
Au fur et à mesure qu’il me baisait la bouche brutalement, il retirait progressivement cet objet monstrueusement volumineux introduit dans mon vagin déjà endolori. Puis vint le moment fatidique où il décida que j’étais prête : sans aucune préparation ni lubrification supplémentaire, son sexe gonflé remplaça l’objet inhumain en moi.
Sa queue impitoyable pilonnait mon intimité sacrifiée avec une violence inouïe tandis que je hurlais autour du bâillon qui m’avait été imposé afin d’étouffer mes cris de détresse. Mon corps tremblant subissait les coups répétés qui allaient marquer cette première expérience traumatisante comme une cicatrice indélébile gravée au fer rouge.
Première fois cauchemardesque : initiation brutale aux plaisirs pervers
Les sévices ne se sont pas arrêtés là : après avoir joui abondamment en moi sans égard pour mon statut de vierge, il a décidé d’initier mon anus innocent à la pratique du fisting. Il a enfoncé sa main sans ménagement dans mon orifice récalcitrant qui se dilatait sous l’effet de cette intrusion indésirable.
Je sentais ses doigts s’enfoncer un par un dans mon trou du cul vierge, avec une vulgarité extrême. Il me traitait comme sa chienne soumise, en ricanant et crachant sur mon anus pour le lubrifier grossièrement avant d’y insérer son poing fermé.
Au début, l’insertion était quasiment impossible à cause de la fermeture naturelle de mon orifice anal récalcitrant. Mais ce pervers expérimenté ne se découragea pas et continua à pousser sa main contre ma rondelle qui commençait alors à céder sous la pression constante.
« Allez salope, tu vas prendre ma main entière que ça te plaise ou non ! » hurla-t-il en forçant davantage sur mon trou béant qui cédait peu à peu sous l’intrusion indésirable de ses gros doigts boudinés. Mes cris étouffés étaient inaudibles derrière le bâillon serré autour de ma bouche déjà meurtrie.
Il avait maintenant quatre doigts bien au fond de moi tandis que je pleurais silencieusement face aux sensations dégradantes ressenties durant cette initiation forcée au fisting anal. Son pouce était recroquevillé près des autres doigts afin d’entrer plus aisément dans cet espace restreint destiné normalement aux excréments plutôt qu’à accueillir les membres musclés d’un homme vicieux.
Une fois tous les obstacles franchis et après avoir joui plusieurs fois devant mes supplications muettes pour arrêter cette torture inhumaine, il finit par enfourner son poing entier dans mon rectum désormais dilaté à l’extrême. La douleur était si intense que je me tordais sur le lit, impuissante face à cette violation de mon intimité la plus profonde.
« A genoux sale pute ! », ordonna-t-il en retirant brusquement sa main de mon orifice dévasté qui se refermait lentement autour du vide abyssal qu’il avait créé en moi. Je rampais pitoyablement jusqu’à ses pieds tel un animal dressé pour obéir aux caprices pervers de son maître sans scrupules.
La soirée prit fin avec l’image humiliante de moi, à quatre pattes, nettoyant les restes fécaux et lubrifiants souillant sa main encore chaude des entrailles récemment explorées lors de cet acte abject qui marqua définitivement ma première expérience sexuelle comme une initiation cruelle aux plaisirs interdits et tabous d’un monde adulte où tout est permis…