You are currently viewing La bourgeoise dépravée et son gode cheval

La bourgeoise dépravée et son gode cheval

Aujourd’hui, mes chers lecteurs pervers, je vais vous raconter l’histoire d’une femme bien sous tous rapports en apparence mais qui cachait un vice inavouable et obscène. Cette chiennasse de bourgeoise avait une vie sexuelle débridée qu’elle gardait secrète aux yeux du monde.

Elle s’appelait Anna et était une belle salope brune aux formes généreuses. Ses gros seins étaient soutenus par un élégant ensemble lingerie en dentelle noire, assorti à ses bas autofixants qui laissaient entrevoir sa chatte parfaitement épilée. Son cul rebondi appelait clairement à la débauche.

Un jour, après avoir découvert les plaisirs extrêmes sur internet, cette petite pute décida de commander un gode cheval sur mesure pour assouvir ses fantasmes les plus fous. Elle ne pouvait contenir son excitation lorsqu’elle imagina le monstre équin prêt à lui défoncer tous ses orifices.

La nympho insatiable et sa débauche équine

Lorsque le colis arriva enfin chez elle, cette pute d’Anna ne put s’empêcher de l’ouvrir fébrilement comme une gamine devant ses cadeaux de Noël. Elle déchira l’emballage avec voracité pour découvrir son nouveau joujou infernal : un gode cheval monstrueux qui allait lui exploser les entrailles.

En sortant ce phallus titanesque du carton, Anna sentit sa chatte se liquéfier instantanément et ses tétons durcir sous l’excitation. La salope n’en croyait pas ses yeux; la queue synthétique était si réaliste qu’on aurait dit que Balthazar, le véritable étalon du haras voisin, s’était matérialisé devant elle.

La chienne lubrique qu’elle était posa alors ce membre gigantesque sur la table basse et contempla cette oeuvre d’art pornographique avec admiration malsaine. Les veines apparentes parcourant la longueur vertigineuse de cet engin diabolique étaient autant de promesses de plaisirs coupables à venir.

Avec des mains tremblantes mais résolues, Anna attrapa un flacon d’un lubrifiant gluant capable d’anesthésier jusqu’à l’échine d’un mammouth en rut. Tout en frottant généreusement ce gel visqueux sur chaque centimètre carré du gode cheval gargantuesque, notre nymphomane perverse imaginait déjà comment il allait remplir chacun des orifices affamés qui brûlaient désormais au creux de son corps dépravé.

Son esprit fourmillait des scénarios les plus obscènes tandis que son souffle s’entrecoupait, trahissant son impatience de se faire démonter par ce monstre équin. Elle en avait assez attendu et il était temps pour cette salope d’Anna de passer à l’action, prête à assouvir ses envies les plus sombres et inavouables avec cet instrument diabolique.

Après avoir suffisamment lubrifié le gode cheval monstrueux, Anna décida qu’il était temps de passer à l’étape suivante. La salope se déshabilla avec empressement, laissant tomber ses vêtements élégants pour révéler son corps voluptueux brûlant d’envie. Ses seins lourds tressautaient sous les soubresauts de désir qui traversaient tout son être.

Anna commença par fourrer ce monstre phallique entre ses miches généreuses, simulant une branlette espagnole indécente alors que le liquide gluant coulait sur sa poitrine et son ventre. Cette mise en bouche ne faisait que renforcer la soif insatiable de cette chienne avide d’une pénétration démente.

La cochonne rampa ensuite jusqu’à son canapé où elle s’allongea lascivement dans une position obscène exposant tous ses orifices offerts aux vices les plus inavouables. Elle plaça un oreiller sous ses fesses rebondies pour mieux présenter sa chatte béante et humide face à cet étalon synthétique prêt à lui défoncer l’intimité sans ménagement.

Tout en caressant langoureusement chaque centimètre de sa peau frissonnante, Anna approcha lentement le gland colossal du gode cheval vers la porte rose et chaude qui n’attendait que ça : être écartelée comme jamais auparavant par cette verge titanesque venue des enfers érotiques.

Avec un soupir mêlé d’angoisse et d’impatience, elle introduisit progressivement le membre gargantuesque dans sa chatte vorace, sentant ses parois vaginales s’étirer comme jamais auparavant. Cette salope d’Anna gémissait de douleur et de plaisir alors que chaque centimètre supplémentaire lui arrachait des cris rauques et lubriques.

La dépravée qu’elle était ne pouvait contenir son excitation face à cette expérience hors du commun : elle se doigtait frénétiquement l’anus tout en dévorant goulûment le gode cheval qui la pilonnait sans relâche. Les fluides corporels coulaient abondamment sur les cuisses tremblantes de notre héroïne perverse lorsqu’elle atteignit finalement un orgasme cataclysmique qui la laissa pantelante et béate, comblée par ce monstrueux engin équin qui venait de lui révéler les tréfonds inexplorés de sa luxure insoupçonnée.

Gorge profonde extrême : le plaisir monstrueux d’Anna

Après avoir joui comme une démente, Anna ne pouvait s’empêcher de vouloir encore plus. Cette salope insatiable décida alors que son dernier acte obscène serait d’enfoncer ce gode cheval monstrueux au fond de sa gorge avide.

La cochonne se redressa péniblement sur ses genoux et approcha le membre gargantuesque trempé de lubrifiant et du jus intime qui avait jailli lors de son précédent orgasme. Elle ouvrit grand la bouche pour accueillir cette verge titanesque et commença à l’avaler centimètre par centimètre, en prenant soin d’étouffer les haut-le-cœur inévitables qui tentaient vainement de freiner sa descente vers l’abîme oral.

Anna sentit la pointe du gland colossal toucher le fond de sa gorge, mais elle refusait obstinément de céder face à cet obstacle charnel. La petite pute qu’elle était puisa dans ses dernières forces pour tenter une véritable gorge profonde avec ce monstre équin infernal. Les yeux exorbités et rougis par l’effort ainsi que les larmes coulant abondamment sur ses joues trahissaient la souffrance mêlée à un plaisir coupable qu’elle ressentait durant cet acte ultime d’autodestruction érotique.

Poussée par un désir démentiel, Anna réussit finalement à engloutir entièrement le gode cheval jusqu’à sentir les boules synthétiques frôler son menton tremblotant. L’épilogue glorieusement ignoble atteint, notre héroïne perverse savoura cet instant de dépravation totale avant de retirer lentement le phallus gigantesque qui avait envahi sa gorge.

La petite salope d’Anna s’effondra ensuite, épuisée et repue, sur son canapé souillé par les fluides corporels et sexuels. Son visage tuméfié arborait un sourire malsain alors qu’elle contemplait avec fierté l’instrument diabolique responsable de ses abominations sensuelles.

.

Anna

Anna est une rédactrice qui écrit des histoires sensuelles et érotiques pour le blog populaire les-plaisirs.fr. Elle a une imagination débordante et aime explorer toutes sortes de fantasmes sexuels dans ses écrits. Ses expériences ne manqueront pas de vous faire vibrer et de vous laisser sur votre faim.

Laisser un commentaire