Je me prénomme Anna, une femme aux formes généreuses et particulièrement excitantes. J’ai de gros seins fermes avec des tétons constamment durcis par l’excitation, un cul bien rebondi qui fait tourner les têtes et une chatte épilée qui appelle à la débauche. Ce soir-là, je portais une robe rouge moulante mettant en valeur mes courbes sensuelles, des bas noirs résille montant jusqu’à mi-cuisse et des talons aiguilles vertigineux.
L’histoire que je vais vous raconter est celle d’une tromperie sordide entre moi-même et ma jeune amie Julie. Elle était si innocente, si naïve… Et j’étais prête à trahir cette confiance pour assouvir mes désirs pervers.
Julie était venue chez moi pour passer la soirée ensemble autour d’un bon verre de vin. En réalité, j’avais prévu de lui faire subir toutes sortes d’humiliations sexuelles sans qu’elle ne se rende compte du piège dans lequel elle tombait.
La perversion d’Anna et l’innocence de Julie
Dès son arrivée, je l’accueillis chaleureusement tout en frôlant discrètement ses seins fermes sous son chemisier blanc transparent. Je sentais déjà mon clitoris gonfler d’impatience à l’idée de ce que nous allions faire ensemble…
Après quelques verres de vin bien corsé pour détendre l’atmosphère (et surtout Julie), je pris la décision audacieuse de proposer un jeu coquin où il fallait deviner quel objet avait été inséré dans notre chatte ou notre anus simplement au toucher. Julie, un peu éméchée, accepta sans se douter de mes intentions malsaines.
Je commençai par insérer discrètement un gode en verre dans mon vagin trempé puis demandai à Julie de tâter ma chatte pour deviner ce que j’y avais glissé. Elle fut surprise au début mais ne put s’empêcher de caresser ma vulve humide et gonflée avec curiosité…
Après quelques secondes d’hésitation, elle trouva la réponse et je l’autorisai à retirer le gode de mon intimité. Je lui proposai alors d’inverser les rôles : c’était à son tour de se faire pénétrer par quelque chose pendant que je devinais ce qu’elle avait choisi.
Mais comme je suis une salope vicieuse, j’avais déjà préparé un objet bien plus gros et démesuré pour cette pauvre petite naïve… Un énorme gode noir aux dimensions effrayantes attendait sagement dans mon tiroir. En voyant l’engin monstrueux, les yeux innocents de Julie s’écarquillèrent tandis que sa respiration s’accéléra sous la peur mêlée d’un désir inavouable.
L’humiliation sexuelle, un plaisir coupable
Avec un sourire sadique sur les lèvres, je forçai cette chienne soumise à enfiler le mastodonte dans sa chatte étroite qui n’avait jamais accueilli pareil visiteur auparavant. Les gémissements plaintifs et excitants sortant des lèvres tremblantes de Julie me rendirent encore plus lubrique et impitoyable.
Pendant près d’une heure entière (bien que cela semblât durer une éternité pour elle), je forçai Julie à se faire défoncer la chatte par ce gode monstrueux, ne lui accordant aucune pitié ni répit. Chaque coup de rein violent faisait gicler des flots de mouille tandis que ses yeux étaient remplis de larmes.
Finalement, j’arrachai brutalement le gode hors du vagin rougi et irrité de ma victime qui s’effondra sur le sol en sanglotant, totalement anéantie par cette expérience traumatisante. Mais moi… Je n’avais jamais autant joui devant un tel spectacle ! Ma culotte était trempée et mon clitoris battait comme un cœur affamé…
En conclusion, cette soirée fut pour moi une véritable orgie de plaisir vicieux au détriment d’une pauvre petite innocente trompée par son amie perverse. Et même si Julie a finalement découvert mes intentions malsaines ce soir-là (et qu’elle ne me parle plus depuis lors), je ne regrette rien car j’ai pu atteindre les sommets obscènes dont je rêvais…