Chapitre 1 : Rencontre avec le patron
La secrétaire, Adeline, était une femme aux formes voluptueuses avec une poitrine généreuse et des hanches larges qui attiraient tous les regards masculins. Elle portait un tailleur jupe bleu marine élégant mais strict, ainsi qu’une paire d’escarpins noirs à talons aiguilles.
Ce matin-là, elle avait rendez-vous avec son nouveau patron, Mr Dupont. En entrant dans son bureau spacieux et luxueux, elle remarqua immédiatement que ce dernier la dévorait des yeux ; il ne cachait pas ses intentions lubriques.
Mr Dupont était un homme mûr aux cheveux grisonnants, légèrement bedonnant mais doté d’un charisme indéniable. Il portait un costume trois-pièces gris foncé impeccablement taillé.
Après quelques banalités échangées entre eux pour faire connaissance, Mr Dupont aborda rapidement le sujet de leurs fantasmes les plus inavouables concernant les fluides corporels divers.
Adeline rougit instantanément en entendant ces mots salaces sortir de la bouche de son patron ; cependant, elle ne pouvait nier que cela l’excitait profondément.
Mr Dupont prit alors la parole : « Je veux que tu te mettes à genoux devant moi maintenant. »
Sans attendre, Adeline s’exécuta et se retrouva face au sexe de son patron qui avait déjà dégrafé sa braguette. Il était en érection, prêt à être englouti par la bouche avide de la secrétaire.
Adeline entama une fellation goulue sur le membre viril de Mr Dupont. Elle léchait chaque centimètre de sa queue dressée avec avidité, insistant particulièrement sur le gland gonflé et humide.
Mr Dupont gémissait maintenant sous les coups de langue experts d’Adeline. Il lui agrippa alors les cheveux pour prendre le contrôle du rythme des va-et-vient dans sa bouche accueillante.
Les bruits obscènes produits par cette fellation étaient assourdissants ; on pouvait entendre distinctement les gargouillis et gloussements étouffés d’Adeline pendant qu’elle suçait avidement ce chibre puissant.
Soudain, sans prévenir, Mr Dupont éjacula un torrent épais et visqueux dans la gorge d’Adeline qui avala tout sans broncher. Elle sentit l’amertume du sperme envahir ses papilles gustatives tandis que son estomac se remplissait peu à peu du liquide chaud et poisseux.
Humiliée mais terriblement excitée par cette première expérience avec son patron pervers, Adeline savait que cela n’était que le début d’une longue série de sévices sexuels auxquels elle allait être soumise…
Chapitre 2 : L’humiliation au bureau
Le lendemain, Adeline se rendit au travail vêtue d’une robe légèrement moulante qui mettait en valeur ses courbes généreuses. Elle ne pouvait s’empêcher de penser à ce qui s’était passé la veille avec son patron pervers et cela l’excitait énormément.
En arrivant dans l’espace ouvert du bureau où travaillaient les autres employés, elle remarqua que Mr Dupont avait installé un fauteuil spécial juste pour elle, devant tout le monde. Ce fauteuil disposait d’un siège percé au niveau des fesses et du sexe, permettant ainsi une exposition totale de ces zones intimes.
Adeline comprit rapidement que cet objet était destiné à l’humilier encore plus profondément devant tous ses collègues. Malgré la honte qu’elle ressentait face à cette situation dégradante, une partie d’elle éprouvait également un plaisir sadique à être ainsi exposée.
Mr Dupont ordonna alors à Adeline de s’asseoir sur le fauteuil spécial en soulevant sa robe pour bien exposer son cul rebondi et sa chatte humide aux regards vicieux de ses collègues. La jeune femme obtempéra sans protester et prit place sur le siège offrant ainsi une vue imprenable sur ses parties intimes.
Ce jour-là, Mr Dupont avait organisé plusieurs réunions afin que tous les employés puissent profiter pleinement du spectacle offert par leur secrétaire humiliée. Chaque fois qu’un collaborateur prenait la parole lors des réunions, il devait obligatoirement se placer derrière Adeline et poser sa main sur l’un de ses orifices, qu’il s’agisse de son cul ou de sa chatte.
Les bruits obscènes produits par les doigts des employés fouillant sans ménagement les orifices d’Adeline étaient parfaitement audibles dans toute la salle. La jeune femme ne pouvait retenir des gémissements étouffés à chaque fois que ses collègues inséraient leurs phalanges expertes en elle.
Au fil des heures, Adeline sentait son excitation monter crescendo malgré l’humiliation subie. Ses chairs intimes se dilataient sous les assauts répétés et elle commençait à sentir le liquide chaud et gluant couler le long de ses cuisses tremblantes.
C’est alors que Mr Dupont décida de passer aux choses sérieuses. Il ordonna à tous les employés présents de se masturber sur la pauvre Adeline. Les hommes comme les femmes se mirent alors à caresser frénétiquement leur sexe devant elle jusqu’à ce qu’ils atteignent tous ensemble un orgasme dévastateur qui aspergea le corps meurtri et souillé d’Adeline d’une myriade de fluides corporels divers.
Chapitre 3 : La jouissance ultime dans la salle de conférence
Le troisième jour, Adeline se rendit au travail avec une appréhension mêlée d’excitation. Elle était vêtue d’une chemise blanche légèrement transparente et d’une jupe crayon noire qui soulignait ses formes généreuses. Sa peau frissonnait à l’idée des sévices sexuels que Mr Dupont avait prévus pour elle ce jour-là.
Arrivée dans la salle de conférence, elle découvrit qu’un étrange dispositif avait été installé au centre de la pièce : une table basse recouverte d’une bâche en plastique sur laquelle étaient posés divers ustensiles destinés à humilier encore plus profondément Adeline devant les yeux vicieux de tous les employés présents.
Mr Dupont fit asseoir Adeline sur cette table infamante et lui ordonna de s’allonger sur le dos, les jambes écartées, offrant ainsi sa chatte béante et son anus dilaté aux regards concupiscents des spectateurs.
Puis il annonça fièrement : « Aujourd’hui, nous allons fêter notre secrétaire humiliée en lui faisant subir un bukkake mémorable ! »
Les employés applaudirent cette annonce macabre avec enthousiasme tandis qu’Adeline sentait déjà l’humiliation monter en elle comme un tsunami dévastateur. Les hommes présents sortirent leur sexe déjà gonflé par l’excitation et commencèrent à se masturber frénétiquement autour du corps offert d’Adeline.
Les femmes, quant à elles, se mirent à uriner sur la pauvre secrétaire en l’aspergeant de leurs jets dorés. Adeline était ainsi recouverte des fluides corporels les plus dégradants qui soient : urine et sperme s’entremêlaient sur sa peau souillée tandis qu’elle essayait tant bien que mal de retenir ses sanglots.
Mais au milieu de cette scène abjecte, Adeline sentit un plaisir indescriptible monter en elle. Les sensations extrêmes provoquées par cet acte sadique et humiliant la faisaient vibrer d’une jouissance qu’elle n’avait jamais connue auparavant.
Les employés redoublaient d’ardeur pour couvrir le corps meurtri d’Adeline de leur foutre chaud et gluant ou de leur pisse ambrée. La jeune femme gémissait maintenant sans retenue sous les assauts répétés des spectateurs vicieux qui semblaient prendre un malin plaisir à la dégrader toujours plus profondément.
Finalement, alors que le dernier jet puissant de sperme s’écrasait sur son visage tuméfié et maculé de fluides corporels divers, Adeline atteignit l’orgasme ultime dans un cri rauque et animal qui résonna dans toute la salle.
Ainsi se termina cette journée cauchemardesque pour Adeline qui avait été humiliée au-delà du supportable. Mais au fond d’elle-même, elle savait que ces expériences lui avaient permis d’accéder à une forme inédite et perverse de jouissance qu’elle ne pourrait désormais plus ignorer…
