Chers lecteurs et lectrices, je vais vous raconter une de mes expériences les plus intenses et taboues que j’ai vécues récemment. J’ai décidé d’essayer quelque chose de nouveau pour pimenter ma vie sexuelle : dormir avec un gode profondément enfoncé dans mon cul.
Première partie : La préparation
Le choix du gode
Pour cette aventure, j’ai choisi un gode en silicone assez long (20 cm) et épais (5 cm), doté d’une ventouse qui se fixe solidement sur une surface plane. Je l’ai soigneusement nettoyé avant de commencer à jouer avec.
L’échauffement
J’étais seul chez moi ce soir-là, alors j’en ai profité pour me détendre devant un bon film érotique afin de bien m’exciter. Pendant que je regardais les scènes torrides, je caressais sensuellement mes seins et ma chatte déjà trempée.
La lubrification
Comme il s’agissait d’un acte assez extrême, j’avais pris soin de choisir un lubrifiant à base d’eau spécialement conçu pour la sodomie. J’en ai appliqué généreusement sur mon anus ainsi que sur toute la longueur du gode.
Deuxième partie: L’insertion
Positionnement
Je me suis mise à quatre pattes sur mon lit face au miroir pour pouvoir observer tout ce qui allait se passer pendant l’acte.
Le moment fatidique
Avant de commencer, j’ai enfoncé lentement un doigt, puis deux dans mon cul pour le détendre. Une fois prête, j’ai approché le gode de mon anus tout en maintenant ma respiration. J’ai commencé à pousser doucement et progressivement jusqu’à ce que la tête du gode pénètre entièrement dans mon orifice.
Le point de non-retour
Après quelques instants d’adaptation, je l’ai inséré plus profondément encore au fur et à mesure que mes muscles se relaxaient. Mes gémissements sont devenus plus forts tandis que je sentais une sensation indescriptible envahir tout mon être.
Troisième partie : Une nuit agitée avec le gode
Des sensations intenses et des réveils imprévus
Une fois le gode complètement englouti par mon cul avide, je me suis allongé sur le ventre pour dormir. Mais la nuit fut loin d’être paisible ! Chaque mouvement modifiait les sensations procurées par le gode qui stimulait ma prostate, déclenchant des vagues orgasmiques incroyables.
Cependant, à plusieurs reprises durant la nuit, je me suis réveillé en réalisant que le gode était sorti de mon orifice dilaté. La souffrance causée par cette situation était aussi excitante qu’elle était douloureuse; l’absence de lubrifiant rendait chaque réinsertion légèrement plus difficile mais intensément exaltante car mon trou béant ressentait une étrange sensation d’abandon lorsqu’il avait été si longtemps étiré.
Masturbations frénétiques et remises en place profondes
Dans ces moments-là où je devais à nouveau insérer ce jouet dans mon cul affamé, j’en profitais pour m’adonner à quelques masturbations frénétiques avec mes doigts tout en tentant de contrôler au maximum mon sphincter pour ne pas laisser échapper ce long gode hors de son antre chaud et humide.
Lorsque cela ne suffisait pas à calmer mes envies effrénées, j’utilisais un vibromasseur puissant sur ma queue bandée jusqu’à l’extrême pendant que je faisais entrer et sortir rapidement cet intrus dans mon cul toujours ouvert. À chaque fois que je sentais le gode sur le point de sortir complètement, je faisais usage de mon autre main pour m’assurer qu’il soit enfoncé profondément et fermement à sa place.
L’éjaculation inattendue
Dans un moment d’intense extase durant la nuit, je n’ai pas pu me retenir plus longtemps et ai éjaculé sur les draps sans même toucher ma queue bandée à bloc! Le plaisir ressenti alors fut si intense que mon corps entier tremblait sous l’effet des spasmes provoqués par cet orgasme incontrôlable.
Alors chers lecteurs et lectrices, j’espère que cette description détaillée vous a permis de mieux comprendre les sensations physiques et émotionnelles qui m’ont traversées lors de cette expérience taboue. Je suis curieux(se) : auriez-vous envie d’essayer quelque chose de similaire ? N’hésitez pas à partager vos propres expériences ou simplement votre avis sur ce récit torride en commentaires!
