C’était lors d’un voyage en van avec mon amoureux et ma meilleure amie, Marie. On avait décidé de dormir tous les trois à l’intérieur pour économiser sur les logements. J’étais vêtue d’un mini short sexy qui moulait bien mon cul rebondi et une brassière légère qui laissait deviner mes tétons durcis par l’excitation du moment.
Marie s’était endormie rapidement, étant épuisée après notre longue journée de route. Mon mec, Marc, me lançait des regards lubriques depuis un moment déjà, sa bite tendue sous son pantalon ne demandant qu’à être libérée. Je ne pus résister à cette invitation silencieuse et je commençai à lui caresser doucement la queue au-dessus du tissu.
- Putain, salope… T’aimes ça hein ? Faire ta cochonne pendant que Marie dort juste là ?, murmura-t-il vulgairement.
Je répondis avec un sourire pervers en sortant sa bite bien raide de son pantalon. Elle était si grosse que j’en salivais d’avance. Je me penchai alors discrètement pour engloutir ce chibre monstrueux dans ma bouche avide tout en jetant un œil sur Marie pour vérifier qu’elle ne se réveille pas.
- Ouais… suce-moi comme une pute insatiable ! Lui dis-je entre deux gorges profondes où je manquais presque de m’étouffer tellement il forçait au fond de ma gorge.
Après avoir bavé abondamment sur sa queue dressée comme un étendard, il me retourna brutalement pour me positionner à quatre pattes et souleva mon mini short pour dévoiler ma petite culotte trempée d’excitation. Il l’écarta avec empressement et s’enfonça directement dans mon trou du cul en manque de bite.
- Ahhh putain ! Encule moi comme une chienne en rut ! lui ordonnais-je les yeux exorbités par la douleur mélangée au plaisir intense.
Il ne se fit pas prier et entama des vas-et-viens brutaux qui faisaient claquer nos corps l’un contre l’autre. Je sentais mes entrailles se remplir de sa queue épaisse pendant que je gémissais à chaque coup de rein puissant qu’il m’infligeait.
C’est alors que je réalisai que Marie s’était réveillé, nous regardant le visage rouge de colère et les yeux humides. Mais il était trop tard pour arrêter maintenant…
« Putain… vous êtes vraiment des salauds », lança-t-elle avec un mélange de désarroi et de dégoût.
Marc, loin d’être dissuadé, redoubla d’intensité dans ses coups jusqu’à ce qu’il explose littéralement dans mon rectum dilaté devant elle.
« Ahhh ouiiii! Jouis en moi, remplis-moi le cul devant cette connasse! », hurlai-je sans aucune retenue tandis que son sperme chaud inondait mes fesses déjà rougies par les coups brutaux qu’il avait donnés.
Marie, la soumise humiliée après sa trahison
Après avoir reçu une bonne dose de sperme dans mon cul, je décidai qu’il était temps d’infliger à ma meilleure amie Marie quelques humiliations bien méritées pour m’avoir jugée. Je me tournai vers elle avec un sourire pervers et lui ordonnai de se mettre à genoux devant moi.
- À ton tour maintenant, petite salope… Lèche mon cul plein de foutre et goûte ce que tu as manqué ! dis-je en écartant mes fesses pour exposer mon anus encore béant et suintant du sperme chaud de Marc.
Marie obéit sans broncher, les larmes aux yeux mais visiblement excitée par cette situation dégradante. Elle apposa sa langue sur mon orifice souillé et commença à lécher consciencieusement chaque trace du liquide gluant qui s’échappait lentement entre mes lobes charnus.
- Ouais c’est ça, bouffe-moi le cul comme la chienne soumise que tu es ! ajoutai-je en lui tirant les cheveux pour forcer son visage contre ma rondelle encore sensible.
Pendant ce temps, Marc avait repris des forces et brandissait fièrement sa bite semi-dure devant le visage humilié de Marie. Il tapota ses couilles gonflées contre sa joue avant d’ordonner :
- Ouvre grand ta gueule! Et suce ma queue comme si c’était ton dernier repas!
Sans attendre la réponse de Marie, il fourra brutalement son sexe déjà gonflé dans sa bouche grande ouverte. Elle étouffait presque sous les assauts de sa queue qui frappait le fond de sa gorge à chaque coup.
- Allez salope, pompe ma bite jusqu’à ce que je te remplisse la bouche de foutre ! Et avale tout !
Pendant que Marie s’affairait à satisfaire les exigences de Marc, j’en profitai pour lui infliger une séance de flagellation sur son cul ferme et rebondi. Armée d’une petite cravache trouvée dans le van, je lui assénais des coups secs et précis en alternant entre ses fesses nues qui se marbraient rapidement sous l’effet du cuir caressant leurs courbes voluptueuses.
Après plusieurs minutes intenses où Marie ne cessait de pleurer tout en continuant à sucer Marc avec application, il explosa finalement dans sa bouche déjà meurtrie par la baise brutale qu’elle venait de subir. Il n’hésita pas à maintenir fermement sa tête pour être sûr qu’elle avalerait bien toute la semence qu’il déversa généreusement au fond de sa gorge.
Le visage ruisselant du sperme restant aux commissures des lèvres et les yeux emplis d’humiliation, Marie se releva péniblement après avoir nettoyé consciencieusement le gland encore sensible de Marc.
C’était clair désormais : elle avait été punie comme il se doit pour nous avoir surpris en plein acte…