Il était une fois, moi, Anna la salope insatiable que vous connaissez bien. Ce jour-là, je portais une tenue d’équitation élégante et sexy : un chemisier blanc moulant mettant en valeur mes gros seins lourds aux tétons pointus qui transperçaient presque le tissu fin ; un pantalon ajusté noir qui épousait parfaitement les courbes de mon cul ferme et rebondi ; des bottes en cuir montantes jusqu’à mi-cuisse ainsi qu’un chapeau pour compléter le tout. Bien sûr, je ne pouvais pas oublier ma petite surprise cachée sous ce pantalon serré – un string minuscule avec des perles anales attachées à son extrémité pour me stimuler pendant ma chevauchée.
Ma jeune amie Sophie avait confiance en moi pour lui enseigner l’équitation. Elle portait également une tenue similaire à la mienne mais elle n’était pas au courant de mes intentions perverses… La naïveté incarnée ! Je menai Sophie dans les bois où nos deux étalons attendaient patiemment notre arrivée.
Alors que nous commencions notre promenade équestre, je ressentais déjà les perles anales frotter contre mon anus affamé à chaque mouvement du cheval. Cette sensation me rendait folle d’excitation et j’avais hâte de partager cette expérience dégradante avec ma pauvre amie.
De l’équitation sensuelle à la vengeance anale monstrueuse
À chaque pas que mon étalon faisait, les perles s’enfonçaient un peu plus profondément dans mon cul affamé. Je pouvais sentir chacune des sphères onduler et masser délicatement les parois de mon anus en ébullition. Plus le cheval avançait, plus ces petites salopes de perles stimulaient mes zones sensibles internes avec une précision effroyable.
Le rythme soutenu du galop me projetait à nouveau sur la selle, alors que je ressentais l’acier froid de la chaîne des perles se glisser entre mes fesses moites d’excitation. Les va-et-vient incessants faisaient naître en moi un désir brutal d’être totalement souillée et humiliée devant ma jeune amie Sophie.
Les sensations étaient tellement intenses que je ne pouvais m’empêcher de gémir bruyamment à chaque fois qu’une nouvelle perle venait titiller l’entrée béante de mon trou du cul dilaté. Mon string n’était plus rien d’autre qu’un morceau trempé qui disparaissait entre mes lèvres gonflées par le désir.
Mes tétons dressés frôlaient continuellement le tissu fin de mon chemisier, provoquant une excitation supplémentaire qui irradiait dans tout mon corps fébrile. J’étais maintenant complètement obsédée par cette expérience perverse et j’avais hâte d’inclure ma pauvre amie Sophie dans ce ballet obscène au milieu des bois…
Alors que nous nous arrêtions pour faire une pause bien méritée après cette chevauchée endiablée, je remarquai rapidement les yeux écarquillés de Sophie, qui avait certainement remarqué mes gémissements et les perles maintenant visibles dépassant de mon string trempé. Je voyais dans son regard la fois le choc d’avoir été trahie par sa soi-disant amie et l’excitation naissante d’être entraînée dans ce jeu vicieux.
Je décidai alors de lui avouer ma tromperie tout en continuant à me souiller avec ces foutues perles anales qui avaient fait naître cette situation si obscène…
« Tu vois ça, Sophie? Ces perles de chienne m’ont fait jouir comme une salope en chaleur pendant que je te donnais des leçons d’équitation. T’aimes ça, hein? », lui lançai-je avec un sourire pervers.
Quand la trahison mène à une punition dégradante et jouissive
Je pouvais voir dans ses yeux qu’elle était partagée entre la honte et l’excitation. Alors, sans plus attendre, je me mis à retirer lentement les perles de mon cul élargi devant elle. Chaque sphère qui sortait provoquait une onde délicieuse qui parcourait tout mon corps.
« Regarde bien comment ces putains de boules ont dilaté mon trou du cul », dis-je en écartant mes fesses pour que Sophie puisse admirer ma rondelle béante. « Ça donne envie d’y mettre quelque chose dedans, n’est-ce pas? »
Sophie ne répondit rien mais son regard trahissait clairement son désir grandissant. J’en profitai alors pour l’amener encore plus loin dans cette aventure obscène et humiliante.
« Viens ici ma petite traînée », ordonnai-je à Sophie en attrapant sa main tremblante pour la placer sur ma chatte trempée par les sécrétions engendrées par cette chevauchée infernale.
Le doigt timide de Sophie commença à explorer mon intimité tandis que nos deux étalons nous observaient sans broncher; probablement habitués aux scènes sordides dont ils avaient été témoins auparavant dans ces bois sombres…
La tromperie avait pris un tournant inattendu et salace où moi – Anna la perverse – entraînais ma jeune amie Sophie dans une spirale de dépravation dont elle se souviendrait longtemps… et moi aussi.
