You are currently viewing L’éboueuse salope aux désirs pervers

L’éboueuse salope aux désirs pervers

Ce matin-là, je me réveillais avec une envie irrésistible de vivre un fantasme osé et tabou. Je décidai alors de commencer ma journée comme une autre en tant qu’éboueuse. Je sortis mon uniforme vert sale et mes bottes noires en caoutchouc qui allaient jusqu’au genoux. Mon corps était affûté et athlétique, ma poitrine généreuse bien soutenue par un soutien-gorge noir en dentelle sous ma combinaison salissante.

En dessous, j’avais choisi des bas résilles noirs assortis à un porte-jarretelles sexy ainsi qu’un string ficelle bien ajusté qui se perdait entre mes fesses rebondies. Malgré les apparences extérieures peu flatteuses que donnait mon habit d’éboueur au premier regard, je cachais une sensualité torride qui attendait juste le bon moment pour s’exprimer.

L’éboueuse insatiable se délecte de sa souillure

Toute la journée, je ramassai les ordures dans les rues étroites du village où je travaillais. Chaque fois que je soulevais l’une des poubelles remplies à ras bord de détritus puants ou lorsque je tirais sur ma chaîne métallique pour vider lourdement son contenu dans le camion-poubelle compacteur grinçant fortement derrière moi, cela ne faisait qu’alimenter encore plus mon excitation perverse grandissante.

Au fur et à mesure de la journée passée sous ce soleil accablant tout en respirant ces odeurs nauséabondes provenant des sacs plastiques éventrés qui jonchaient les trottoirs, mon corps se couvrait de sueur et mes orifices se dilataient naturellement. Mon anus palpitait d’envie à chaque fois que je me penchais pour ramasser un énième sac poubelle dégoulinant, tandis que ma chatte trempée laissait des traces humides sur l’intérieur cuisse de mon uniforme crasseux.

En fin de journée, alors que le soleil commençait à disparaître derrière les montagnes qui bordaient notre petite bourgade rurale perdue au milieu des champs et collines verdoyantes, j’étais enfin prête pour mon expérience ultime : être soumise aux plaisirs honteux dans cet environnement sordide où régnait une odeur pestilentielle permanente.

Je trouvai l’endroit idéal près d’une benne à ordure bien remplie où traînaient quelques objets insolites comme une bouteille en verre vide ou encore un légume trop abîmé récupéré dans les restes d’un repas. J’écartai les pans souillés de ma combinaison pour dévoiler mes seins gonflés par le désir et je m’allongeai sur le sol sale recouvert de débris divers tout en conservant mes gants épais faits pour manipuler ces immondices sans risquer blessures ou coupures.

Les objets impurs, témoins d’une jouissance honteuse et inavouable

Je m’allongeai donc sur le sol sale, les jambes écartées et mon trou béant exposé aux ordures environnantes. Je saisis la bouteille en verre vide sans prendre soin de la nettoyer et commençai à me l’enfoncer dans ma chatte trempée d’excitation. Le froid du verre contrastait avec la chaleur dégagée par mon intimité brûlante, je ne pus retenir un gémissement obscène alors que je me pénétrais avec cette bouteille crasseuse.

Je poussais de plus en plus fort pour sentir chaque centimètre souiller mes parois vaginales déjà humides de cyprine mélangée à la crasse ambiante. Mon autre main s’aventurait vers le légume abîmé, une carotte flétrie qui avait roulé hors de son sac déchiré. Je n’hésitai pas un instant avant d’introduire ce légume immonde directement dans mon cul serré sans aucun lubrifiant, ressentant ainsi toute l’étendue des sévices que je m’infligeais volontairement.

La douleur était intense mais cela augmentait encore davantage mon excitation perverse. Mes seins ballotèrent sous les secousses provoquées par mes mouvements brutaux tandis que j’enfonçais simultanément ces deux objets impurs au plus profond de mes orifices sales et dilatés.

Le plaisir monta rapidement en moi comme une vague incontrôlable prête à tout emporter sur son passage : ma raison vacillante se noya finalement dans ce torrent orgasmique infernal lorsque ma jouissance éclata soudainement de manière si puissante et intense que je me sentis défaillir. Mon corps se tordit sous les spasmes incontrôlables tandis que mes cris résonnaient dans la nuit tombée, accompagnés par l’écho lointain des chiens hurlant au loin.

Je restai là, allongée sur ce sol crasseux jonché d’immondices en tous genres parmi lesquelles ma propre mouille souillait désormais le paysage pestilentiel qui m’entourait. Mes orifices étaient encore pleins de ces objets incongrus et sales dont j’avais joué pour assouvir mon fantasme pervers inavouable : être une éboueuse salope qui s’est volontairement soumise à la plus extrême des humiliations en utilisant des objets immondes pour se donner du plaisir jusqu’à atteindre l’orgasme ultime.

Mon cœur battait encore à tout rompre alors que je reprenais lentement mes esprits, savourant chaque instant passé dans cet état d’abandon total où j’ai osé franchir toutes les limites. Je retirai finalement avec un certain regret ces deux objets témoins de ma honteuse jouissance avant de remonter précipitamment ma combinaison salissante sur mon corps brisé mais comblé.

Éléonore

Éléonore est la nouvelle rédactrice en chef du blog sensuel les-plaisirs.fr. Elle est passionnée de sexe et adore explorer de nouvelles façons de profiter de la vie. Son blog est une excellente ressource pour tous ceux qui cherchent à ajouter un peu de piment à leur vie sexuelle.

Laisser un commentaire