Chers lecteurs et lectrices de Les-Plaisirs.fr, aujourd’hui, je vais vous raconter une histoire qui m’est arrivée récemment. C’était un dimanche après-midi plutôt tranquille dans mon petit village. Je venais tout juste d’assister à la messe du matin et j’avais décidé de faire une promenade pour profiter du soleil printanier.
Au fil de ma marche, je suis passée devant l’église où officiait notre charmante curé. Pour préserver son anonymat, appelons-la simplement « Madame la Curé ». Bien que très pieuse et réservée en apparence, je savais qu’elle cachait un jardin secret bien plus torride que ce que nos fidèles paroissiens pouvaient imaginer.
Dans l’intimité des confessions téléphoniques nocturnes auxquelles nous nous adonnions régulièrement depuis quelques mois déjà – il faut avouer qu’on est loin des discussions classiques sur les écritures saintes – elle s’était ouverte à moi sur ses fantasmes les plus inavouables : ceux-ci impliquaient souvent des scénarios empreints d’un érotisme sacrilège avec parfois même plusieurs partenaires !
Un jour, alors que nos conversations se faisaient encore plus osées et lubriques qu’à l’accoutumée (je dois reconnaître que cela me plaisait beaucoup), Madame la Curé m’a proposé une rencontre discrète dans sa sacristie pour partager ensemble ces plaisirs interdits dont elle rêvait tant.
Le rendez-vous était pris pour le lendemain soir après complies. Comme convenu avec ma complice improvisée, je me suis faufilée dans l’église éclairée seulement par quelques chandelles et les rayons de la Lune qui filtraient à travers les vitraux. C’est là que m’attendait Madame la Curé, vêtue d’une robe longue et noire bien plus suggestive qu’il n’y paraissait.
Dès notre premier baiser langoureux, nous avons été emportées par une fougue bestiale irrésistible qui nous a poussées à explorer ensemble chaque recoin de nos corps respectifs. Nos mains se sont rapidement aventurées sous nos robes pour y découvrir des trésors cachés : elle avait revêtu un porte-jarretelles en dentelle rouge sang assorti avec des bas résille noirs très sexy ; quant à moi j’avais opté pour un string minimaliste noir orné d’un bijou intime en forme de croix inversée.
Nos sextoys préférés étaient également de la partie pour pimenter davantage cette expérience déjà extrême. Parmi ceux-ci figurait notamment un gode-ceinture aux dimensions impressionnantes que Madame la Curé tenait absolument à essayer sur moi tout en récitant certaines prières blasphématoires dont elle seule connaissait le secret.
Je dois vous avouer que jamais jusque-là je n’avais ressenti une telle intensité orgasmique ! C’était comme si chaque coup de rein porté par ma partenaire stimulait simultanément mon point G et tous mes autres points érogènes internes et externes…y compris mon âme !
Au bout d’une heure ou deux, épuisées mais comblées au-delà même du plaisir charnel pur (je pense ici aux quelques moments particulièrement tendres où nos regards se sont croisés et où nous avons échangé quelques mots d’amour sincères), nous avons décidé de mettre un terme à cette rencontre nocturne placée sous le signe du sacrilège.
Alors chers lecteurs, je suis curieuse : avez-vous déjà vécu des expériences similaires ou ressenti ce genre de sensations lors de vos aventures sexuelles ? N’hésitez pas à partager avec moi et les autres membres de notre communauté vos anecdotes les plus obscènes, perverses et extrêmes en laissant un commentaire ci-dessous. Je me ferai une joie de vous lire !
