Je suis arrivée chez l’esthéticienne ce matin, portant une robe fleurie légère qui épousait parfaitement les courbes de mon corps voluptueux. Mes seins étaient bien en évidence grâce à un soutien-gorge push-up, tandis que mes hanches s’élargissaient naturellement au-dessus de mes cuisses galbées. J’avais opté pour des chaussures à talon qui me donnaient cet air hautain dont je raffole.
En entrant dans la cabine d’épilation, j’ai commencé par retirer lentement ma robe devant l’esthéticienne intriguée. Elle a découvert avec stupéfaction le string ouvert en dentelle noire que je portais volontairement aujourd’hui – un choix audacieux qui ne manquait pas de piquant.
Mais c’était surtout le bijou anal scintillant entre mes fesses rebondies qui attirait tous les regards ! Un plug métallique orné d’un cristal couleur rubis était fièrement planté dans mon cul offert sans aucune gêne ni retenue. Je me délectais du regard choqué mais excité de cette femme face à cette situation taboue et perverse.
Elle m’a demandé pourquoi diable avais-je mis ce bijou avant notre rendez-vous pour une épilation laser du sillon inter-fessier ? Sans rougir, je lui ai répondu que j’aimais sentir cet objet froid et dur remplir mon orifice sale pendant qu’elle travaillerait sur moi – cela me procurerait certainement beaucoup plus de plaisir qu’un simple string.
L’épilation laser torride : un bijou anal et une esthéticienne complice
L’esthéticienne, décontenancée mais visiblement intéressée par cette proposition osée, a alors accepté de jouer le jeu. Elle m’a demandé de me mettre à quatre pattes sur la table d’épilation en positionnant mon cul bien ouvert vers elle. J’ai obtempéré avec un sourire provocateur et obscène qui ne présageait que des choses salaces pour notre séance.
Alors qu’elle préparait ses instruments – laser, cire chaude et spatule – je sentais l’excitation grandir en moi jusqu’à ce que ma chatte devienne trempée sous la pression du plug anal toujours planté dans mon derrière. L’esthéticienne a commencé par passer sa main gantée entre mes fesses afin d’étaler une crème anesthésiante sur la zone à épiler, effleurant au passage mon anus déjà dilaté par le bijou qui y trônait.
Une fois prête, elle s’est emparée de l’appareil laser et a commencé à faire glisser son embout brûlant contre ma peau sensible tout autour du plug anal encore solidement enfiché dans mon orifice sale. La sensation était indescriptible : sentir cette technologie moderne travailler sur moi tandis que j’exhibais sans vergogne un objet aussi tabou que ce bijou pervers provoquait chez moi une jouissance telle que je n’avais jamais connue auparavant !
Au fil des passages répétés du laser sur ma peau nue et offerte, je pouvais voir les poils se consumer sous l’effet de la chaleur intense dégagée par cet instrument infernal. Cela me donnait presque envie de crier, mais je me retenais en serrant les dents autant que possible.
Alors que je me mordais les lèvres pour contenir mon plaisir coupable, j’ai soudainement ressenti une étrange pression sur le bijou anal. Cette sensation a lentement délogé le plug qui était profondément enfoncé dans mes entrailles, jusqu’à ce qu’il soit expulsé par un mouvement brusque de l’esthéticienne.
Plaisirs interdits en cabine d’épilation : quand le tabou rencontre la douleur
Ce retrait inattendu a libéré un petit jet de mouille anale et de lubrifiant qui s’est répandu sur la table d’épilation. L’esthéticienne ne semblait pas du tout dégoûtée par cette situation obscène ; au contraire, elle m’a expliqué qu’elle devrait passer plus de temps à travailler sur la zone exposée maintenant que le bijou avait été retiré.
Elle a donc placé l’appareil laser directement contre les bords dilatés et humides de mon orifice anal, faisant glisser son embout brûlant avec aisance grâce à mes fluides corporels abondants. La douleur était intense, mais cela n’avait d’égal que le plaisir dépravé que je ressentais alors qu’elle écartelait mon trou du cul pour viser chaque zone encore non explorée par son matériel diabolique.
Sous ses doigts experts, ma rosette béante se contractait sous l’effet des impulsions électriques et des sévices infligés à cet endroit si intime et fragile. Je pouvais sentir chacun des poils disparaître sous le passage impitoyable du laser tandis que mes gémissements étouffés trahissaient ma jouissance perverse malgré moi.
La séance d’épilation laser devenait de plus en plus insoutenable, et pourtant je ne pouvais m’empêcher de savourer cette torture à laquelle je m’étais volontairement soumise. Mon cul était maintenant lisse et dépourvu de toute pilosité, prêt à accueillir à nouveau mon bijou anal adoré ou tout autre objet obscène que je choisirais d’y introduire.
En finissant son travail méticuleux sur mon anus épilé avec sadisme, l’esthéticienne a glissé un doigt ganté dans ma chatte trempée pour vérifier si elle avait atteint tous les recoins encore poilus. Cette intrusion inattendue a provoqué chez moi un orgasme violent qui s’est traduit par des spasmes incontrôlables et une marée de cyprine qui venait se mélanger aux fluides déjà présents sur la table.
Après cet instant libératoire, j’ai repris peu à peu mes esprits en réalisant l’étendue des tabous que nous avions franchis ensemble lors de cette séance érotique hors du commun. L’esthéticienne n’a pas prononcé un mot mais le sourire complice qu’elle affichait en me tendant une serviette pour nettoyer mes orifices souillés valait toutes les confidences du monde…