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La stagiaire soumise et l’initiation à la dépravation

Chapitre 1 : L’arrivée de la stagiaire et les premières découvertes

C’était une journée ordinaire au bureau lorsque cette jeune stagiaire, Camille, arriva pour travailler avec moi. Elle était vêtue d’une jupe crayon noire, d’un chemisier blanc légèrement transparent et des escarpins rouges discrets mais élégants. Son corps était finement sculpté : un tour de taille marqué, des hanches rebondies et un décolleté généreux.

Dès son arrivée, je sentais mon entrejambe s’enflammer d’impatience à l’idée des perversions qui allaient se jouer ici-même dans cet open space si banal. Je fis passer Camille par toutes sortes d’épreuves professionnelles jusqu’à ce que je ne puisse plus contenir mes envies obscènes.

Je me levai discrètement pour aller verrouiller la porte du bureau avant de m’approcher lentement de Camille assise à sa table de travail. Une fois derrière elle, je posai mes mains sur ses épaules en lui murmurant à l’oreille d’un ton autoritaire :

  • Maintenant ma belle, tu vas apprendre ce qu’est vraiment le monde du travail… Tu seras mon jouet sexuel privé !

Camille frissonna mais obtempéra sans broncher devant mon aplomb inattendu. Je commençai alors ma descente vers ses seins que je malaxai vigoureusement, me permettant de sentir ses tétons durcir à travers son chemisier trempé par l’excitation. Pendant ce temps, mes doigts s’aventurèrent sous sa jupe pour dénicher la fontaine qui avait jailli entre ses cuisses.

Je fis glisser ma main le long de sa culotte humide et commençai à titiller son clitoris gonflé tout en lui pinçant durement les tétons. Elle gémit bruyamment alors que je continuais mon exploration vaginale, insérant un puis deux doigts en elle, faisant des mouvements circulaires pour bien étirer ses chairs intimes.

  • Ne crois pas que tu vas t’en tirer si facilement ! dis-je en attrapant une règle posée sur le bureau. Je vais te fouetter cette chatte jusqu’à ce qu’elle soit rouge vif !

Et sans attendre de réponse, j’administrai les premiers coups de règle sur sa vulve déjà abondamment lubrifiée par ses sécrétions vaginales. À chaque impact sur son sexe humide, un bruit clapotis mêlé aux gémissements aigus de Camille résonnait dans la pièce.

Au bout du cinquième coup, j’ai arrêté subitement et observai avec satisfaction comment la zone écarlate enflammée contrastait parfaitement avec le reste de sa peau pâle et douce…

Chapitre 2 : Les plaisirs extrêmes du bureau

Après avoir fouetté Camille avec la règle, je décidai qu’il était temps de passer aux choses sérieuses. Je lui demandai alors de se pencher sur le bureau et d’écarter ses jambes.

  • Écarte bien grand, ma chère stagiaire, ordonnai-je. Je veux voir à quel point tu es prête pour l’étape suivante.

Elle s’est exécutée sans broncher, écartant les cuisses jusqu’à ce que sa vulve rouge vif et gonflée soit exposée en plein milieu du bureau. Je me suis approché d’elle en sortant un plug anal tunnel de mon tiroir.

  • Tu sais ce que c’est ? lui ai-je demandé tout en faisant tourner l’objet dans mes mains.

Camille hoche la tête timidement avant que je ne continue :

  • Alors tu vas te détendre pendant que j’insère ce jouet dans ton cul étroit.

Je lubrifiais généreusement le plug avec sa propre mouille encore présente sur mes doigts puis entamais lentement son insertion dans son anus serré. Elle poussait des gémissements rauques mêlés à des cris tandis qu’elle sentait l’épaisseur du plug s’enfoncer profondément en elle sous mes coups insistants.

Une fois le plug totalement inséré, j’ai pu apercevoir clairement à travers celui-ci permettant une vision obscène de ses parois anales béantes. J’avais maintenant accès illimité au plus intime de cette jeune stagiaire qui aurait imaginé pareil traitement durant ses heures travaillées.

Je ne pus résister à l’envie de la pénétrer violemment tandis qu’elle était ainsi offerte. Je sortis mon sexe dur et gonflé et le dirigeai vers son vagin détrempé par ses sécrétions abondantes. À chaque coup de reins que je lui donnais, on pouvait entendre les bruits obscènes du clapotement de sa mouille se mêlant au frottement des chairs.

De temps en temps, j’enfonçais un doigt dans le tunnel anal pour encore plus la stimuler ce qui provoquait des hoquets étouffés chez Camille, incapable de contenir son plaisir extrême. Les gémissements s’intensifiaient jusqu’à atteindre un crescendo lorsque je sentis mon sexe exploser en elle dans une jouissance commune.

Après quelques minutes d’une étreinte extenuante où nos corps tremblaient encore sous l’effet orgasmique, je retirai doucement mon membre engorgé puis ôtai également le plug anal tunnel avec précaution, libérant un flot de sperme mélangé aux fluides corporels divers qui s’échappaient maintenant librement.

Camille restait là pantelante sur le bureau, ses orifices béants témoignant des sévices subis lors de cette initiation à la dépravation.

  • Bienvenue dans notre entreprise ma belle stagiaire… soufflai-je avant d’appeler un collègue pour venir profiter également du spectacle humiliant mais terriblement excitant offert par notre nouvelle recrue.

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