Mon histoire débute un matin ensoleillé, alors que je me prépare pour ma journée de travail en tant que gardienne professionnelle de chiens. Je suis une femme aux courbes généreuses, dotée d’une poitrine voluptueuse et d’un cul charnu qui attire les regards. Ce jour-là, j’ai choisi de porter une robe élégante mais provocante avec un décolleté plongeant mettant en valeur mes seins rebondis, ainsi qu’une paire de bas résille noirs à peine visible sous l’ourlet coquinement court. Mes dessous sont assortis à mon ensemble : un soutien-gorge noir et dentelle rouge qui met parfaitement ma poitrine en valeur et un string ficelle qui disparaît entre mes fesses.
Je saisis les clés du van aménagé spécialement pour accueillir les chiens dont je m’occupe chaque jour. Le véhicule est bien équipé pour leur confort… mais aussi le mien lorsqu’il s’agit de satisfaire certains fantasmes inavouables que j’affectionne particulièrement.
Aujourd’hui, la thématique sera celle des membres aux formes animales. Dès la première promenade canine terminée dans ce parc isolé où personne ne vient jamais nous déranger, je retourne vers le van avide d’aventures taboues au milieu des chiens dociles.
L’Initiation Bestiale dans le Van des Plaisirs Coupables
L’intérieur du véhicule a été soigneusement aménagé à cet effet ; il est tapissé d’un revêtement doux et facilement lavable sur lequel reposent divers jouets sexuels inspirés par nos amis à quatre pattes. Je commence par choisir un gode en forme de membre canin, son gland massif et ses veines saillantes me faisant frissonner d’excitation.
Le jouet est une réplique fidèle et réaliste d’un membre canin, mesurant environ 25 centimètres de longueur et 5 centimètres de diamètre au niveau du gland. Sa texture soyeuse imite à la perfection la peau douce mais ferme d’une vraie queue de chien. La base du gode se termine par un bulbe proéminent qui promet des sensations intenses lorsqu’il sera enfoncé profondément dans mon orifice avide.
Tout en caressant ma chatte humide avec mes doigts, je lèche langoureusement le gode canin pour bien le lubrifier. Je peux sentir les veines saillantes sous ma langue tandis que j’enfonce ce phallus artificiel dans ma bouche gourmande, imaginant déjà comment il me déchirera les chairs intimes.
Je me positionne ensuite à quatre pattes sur le sol recouvert d’une couverture épaisse et souple, prête à m’offrir entièrement à cet objet pervers aux allures animales. Je guide lentement son gland volumineux vers l’entrée de mon vagin trempé d’excitation, savourant chaque millimètre qui s’enfonce en moi tandis que je gémit bruyamment.
La Jouissance Honteuse d’une Gardienne Canine aux Fantasmes Inavoués
Le gode rempli progressivement mon orifice jusqu’à atteindre le fameux bulbe gonflé situé près de sa base – celui-ci m’étire au-delà des limites que je pensais possibles, provoquant un mélange exquis entre douleur intense et plaisir incommensurable.
Dans cette position indigne où je ressemble tant à ces chiennes dont j’ai pris soin quelques minutes auparavant, je me laisse aller à des mouvements de va-et-vient bestiaux. Mon cul rebondit sur la base du gode canin avec une violence inouïe, faisant claquer mes fesses contre le plastique dur et m’arrachant des cris rauques de jouissance.
Le membre artificiel déforme mon vagin sans pitié, les stries veinées marquant leurs empreintes sur mes parois vaginales trempées tandis que le bulbe fait pression sur mon point G, m’amenant au bord de l’explosion orgasmique. Je sens chaque centimètre carré de cet instrument diaboliquement sculpté qui cogne contre ma chair intime comme un chien en rut.
Finalement, dans un cri déchirant et obscène où je crie tous les mots vulgaires qui me viennent à l’esprit pour exprimer ce plaisir coupable dont j’ai honte mais que j’aime tant ressentir, je jouis intensément autour du gode canin toujours profondément ancré en moi.
Ma chatte se contracte violemment autour de cette queue artificielle, alors que les spasmes orgasmiques secouent mon corps entier. Je m’effondre sur le sol du van, épuisée et comblée par cet acte pervers dont j’ai été l’unique protagoniste.
Les chiens, témoins silencieux de ma débauche bestiale, me regardent avec indifférence tandis que je reprends tant bien que mal mon souffle après cette expérience inavouable qui restera gravée dans ma mémoire à jamais. Avec un sourire coupable mais satisfait aux lèvres, je retire lentement le gode canin encore ruisselant de mes sécrétions intimes ; mon vagin dilaté et rougeoyant témoigne des sévices endurés sous la caresse impitoyable de ce membre monstrueux.
Je range précipitamment les preuves de ma dépravation avant d’enfiler mes sous-vêtements trempés et ma robe élégante comme si rien ne s’était passé. Il est temps pour moi de retourner à la vie quotidienne en tant qu’humble gardienne canine… Jusqu’à ce que mes fantasmes animaux incontrôlables reprennent le dessus et m’emportent une fois encore vers les sommets obscènes du plaisir interdit.