C’est vêtue d’une mini-jupe ultra-moulante et d’un petit haut transparent qui laisse entrevoir mes seins fermes et ma chatte épilée que je me présente à vous aujourd’hui. Mes talons aiguilles ajoutent une touche provocante à mon allure générale, tandis que mon string ficelle peine tant bien que mal à dissimuler l’excitation qui grandit en moi. Car oui, chers lecteurs, je suis sur le point de vous livrer l’une de mes confessions les plus intimes et obscènes : mon addiction aux lavements anaux.
La découverte décadente des lavements anaux et leurs plaisirs interdits
Tout a commencé lors d’une soirée solitaire passée chez moi. J’avais revêtu pour l’occasion un pantalon moulant mettant parfaitement en valeur mes fesses rebondies ainsi qu’un joli soutien-gorge assorti. Curieuse par nature, je me retrouvai rapidement plongée dans la découverte des plaisirs de cette pratique si taboue grâce au monde merveilleux d’internet… Une fois munie d’un kit complet acheté sur le web spécialement conçu pour ce genre de divertissement anal, il ne fallut pas longtemps avant que je succombe totalement au plaisir intense qu’il procurait.
Je commençai donc par m’enfoncer délicatement le tuyau dans mon petit trou encore vierge jusqu’à sentir la fraîcheur du liquide envahir lentement mais sûrement tout mon conduit rectal. Tout s’emballa alors très vite ; bientôt prise de spasmes incontrôlables sous l’effet du jet puissant se frayant un chemin jusque dans les moindres recoins de mon cul, ma chatte dégoulinait littéralement de plaisir et je ne pus m’empêcher d’éjaculer abondamment. C’est ainsi qu’au fil des semaines, cette pratique devint pour moi une véritable addiction.
De plus en plus accro à ces sensations extrêmes procurées par le lavement anal, j’en vins rapidement à vouloir explorer de nouveaux horizons…
C’est ainsi que je découvris un institut spécialisé dans le bien-être qui proposait un service d’hydrothérapie du colon complet avec des quantités de liquide absolument délirantes. Ni une ni deux, je pris rendez-vous pour tenter cette nouvelle expérience.
L’hydrothérapie du colon : une séance professionnelle qui vire à l’orgie lubrique
Le jour J, vêtue d’une robe légère et très courte laissant entrevoir mon string rouge ardant à chaque pas que je faisais, j’arrivai au centre de soin feignant l’intérêt pour les vertus thérapeutiques de ce traitement peu commun. Mon véritable but ? Pousser toujours plus loin mes limites en matière de pénétration anale et jouir comme jamais auparavant.
Une jeune femme me reçut pour ma séance ; elle était belle, sexy avec ses longs cheveux bruns ondulés tombant sur ses épaules nues et son sourire charmeur ne pouvait dissimuler l’étincelle espiègle dans ses yeux. Elle me fit asseoir confortablement sur une chaise spécialement conçue pour faciliter l’introduction du large embout destiné à remplir mon cul insatiable.
Tentant tant bien que mal de cacher mes intentions lubriques derrière des questions anodines sur les bénéfices supposés de cette pratique ancestrale qu’elle prétendait n’avoir aucun lien avec les plaisirs sexuels interdits dont j’étais friande… Je sentais déjà la mouille couler le long de mes cuisses alors même qu’elle préparait minutieusement le matériel nécessaire.
Professionnelle, elle fit mine d’ignorer la mouille qui coulait déjà sur mon anus offert lorsqu’elle s’approcha pour m’empaler délicatement de cette petite buse destinée à déverser doucement 3 litres d’eau en moi au cours d’une demi-heure. Le dispositif était conçu de façon à s’ancrer dans mon cul, limitant les risques d’écoulements. Ce que je ne savais pas, c’est qu’en général la professionnelle quittait son patient le temps que le lavement avance, passant prendre des nouvelles de temps en temps.
Mais cette fois-ci, sans doute curieuse des premiers spasmes qui me traversaient et du léger flot de cyprine qui lui avait rendu l’insertion de la buse très aisée, elle resta tout du long face à moi pour me parler. Ses paroles étaient douces et rassurantes, évoquant les bienfaits de l’hydrothérapie du colon sur mon organisme. Mais je pouvais sentir que derrière ces mots se cachait une envie réprimée.
Tout en discutant avec moi, elle se mit à effleurer délicatement mes cuisses nues, remontant lentement vers l’intérieur de celles-ci sans jamais franchir la limite entre le professionnel et le sexuel. Ce jeu subtil m’excitait au plus haut point ; je sentais mon ventre gonfler peu à peu sous l’action des litres d’eau s’infiltrant inexorablement dans mon cul gourmand.
Elle posa ensuite sa main chaude sur mon ventre rebondi par tant d’eau souillée en moi, comme pour vérifier si j’étais prête à exploser ou non. Mon désir était tel que j’avais presque envie qu’elle puisse deviner ce que je ressentais vraiment…
Après 30 minutes interminables pendant lesquelles ma chatte n’était plus un simple filet mais un véritable torrent incontrôlable dont même elle ne pouvait ignorer la présence malgré son attitude professionnelle apparente.
Enfin vint le moment où elle proposa d’enlever le dispositif afin que je puisse aller me libérer dans les toilettes juste à côté. Mais c’était loin d’être mon intention… Je voulais jouir ici et maintenant, dans une explosion nauséabonde et perverse que seul ce lavement pouvait me procurer.
Alors que je sentais mon orgasme imminent, elle déposa délicatement mais fermement sa main sur ma hanche sensible tout en me retirant la buse. « Tout est fini, chérie », me murmura-t-elle à l’oreille d’une voix suave. Mon corps ne put contenir plus longtemps cette envie brûlante et convulsa de jouissance ; je commençai à propulser un jet ininterrompu de liquide sale et puant en face de moi.
« Holy shit! », m’écriai-je dans un râle libératoire tandis que les vannes s’ouvraient grand pour laisser sortir cette mixture nauséabonde qui souillait tout sur son passage. Passé le moment de surprise, j’eus pitié pour elle et forçai sur mes sphincters fébriles pour parvenir seulement à minimiser le flot en de nombreux jets intermittents.
Revenant peu à peu à mes esprits après ce cataclysme orgasmique incontrôlable, je croisai enfin le regard glacé de la femme qui, désormais très froide sans doute tiraillée par ses sentiments contradictoires entre excitation et honte viscérale, m’invita sèchement : « Va aux toilettes pour finir ce que tu as commencé pendant que je nettoie ici. »
Je m’exécutai docilement et une fois vidée du reste des fluides indésirables encore présents dans mon rectum meurtri, retourna vers la salle désormais vide où j’avais été si copieusement remplie quelques instants auparavant. Tout était propre comme si rien ne s’était passé, et je pris soin d’enfiler de nouveau mes habits qui n’avaient pas été épargnés par mon déluge anal.
Lorsque je sortis, la jeune femme se tenait au standard, fraîchement changée mais portant encore l’odeur lubrique de nos ébats. Nos regards se croisèrent et elle me lança un « J’espère que vous avez apprécié votre séance » teinté d’une ironie mordante. Je lui répondis simplement : « Plus que vous ne pouvez l’imaginer », avant de quitter cet endroit où j’avais vécu un des moments les plus intenses et honteux de ma vie.
La soirée lavement anal en groupe : débauche et jouissance collective
Après cette expérience inoubliable à l’institut de bien-être, mon addiction aux lavements anaux n’avait fait que grandir. Je me sentais poussée vers des plaisirs toujours plus intenses, sans limites ni tabous. C’est ainsi qu’un jour je découvris sur un forum spécialisé l’annonce d’une soirée privée où les amateurs de cette pratique extrême se réunissaient pour partager leur passion commune.
Vêtue d’un mini short en cuir qui laissait apparaître le bas de mes fesses rebondies et d’un haut moulant mettant en valeur ma poitrine généreuse, je pris la direction du lieu indiqué dans l’invitation avec une excitation difficilement contenue.
À peine arrivée sur place, je fus accueillie par un couple souriant qui m’expliqua brièvement le programme de la soirée : plusieurs ateliers étaient organisés pour permettre à chacun de s’adonner aux plaisirs du lavement anal sous toutes ses formes – solo ou en groupe, avec divers types d’appareils et accessoires… L’idéal pour assouvir ma soif insatiable !
Je commençai par rejoindre un petit groupe où chaque participant devait administrer un lavement à son voisin. Les râles de plaisir se faisaient entendre partout autour dès que les premières giclées chaudes envahissaient nos culs offerts tandis que nous étions tous entassés les uns contre les autres dans une promiscuité perverse.
« Allez salope! Prends tout ce liquide sale au fond de ton cul! », me lança l’homme qui me remplissait avec une buse reliée à un sac contenant plus de 5 litres d’eau. Je ne pus m’empêcher de répondre par des gémissements rauques et obscènes, au fur et à mesure que mon ventre se gonflait sous l’action du lavement.
Pendant ce temps, je devais moi-même enfoncer délicatement le tuyau dans le cul serré de la femme devant moi. « Ne te retiens pas ma chérie… J’ai envie que tu me remplisses jusqu’à ce que j’éclate », gémit-elle alors qu’elle sentait ses entrailles se faire inonder sans pitié.
Finalement, nous tous étions sur le point d’exploser sous l’action conjuguée des lavements anaux et des caresses vicieuses auxquelles certains s’étaient livrés pour augmenter leur plaisir. C’est alors qu’un homme prit la parole : « Maintenant mes chiennes lubriques! On va tout expulser ensemble! »
Au signal donné par cet homme à la voix autoritaire, nous lâchâmes tous nos sphincters d’un seul coup, libérant un déluge de fluides souillés et mélangeant les cris jouissifs avec le bruit écœurant des éjections. Les jets de liquide sale se croisaient dans une orgie nauséabonde et chaotique qui ne faisait qu’accroître notre excitation perverse.
Après cette première expérience collective intense, je me dirigeai vers le second atelier où toutes sortes de liquides étaient proposés pour remplacer l’eau habituelle. Parmi ceux-ci figuraient du champagne, du lubrifiant visqueux ou encore des fluides corporels tels que la pisse ou le sperme récupéré en quantités impressionnantes auprès des participants volontaires.
Vêtue maintenant d’une mini-jupe plissée sans culotte ni soutien-gorge en dessous, j’étais prête à explorer ces nouvelles sensations interdites. Je m’installai sur une table spécialement conçue pour faciliter les lavements anaux et fis mon choix : je voulais goûter à ce cocktail infâme composé de pisse et de foutre gluant provenant d’on ne sait combien d’inconnus.
Un homme s’approcha alors avec un entonnoir relié à un tuyau déjà inséré dans son propre anus ; il était chargé de transférer cette mixture immonde directement dans mon cul avide. « Allez ma salope ! Ouvre bien grand ton trou pour recevoir tout ce jus dégueulasse! », me dit-il en riant tandis qu’il commençait lentement mais sûrement à remplir mes entrailles de cette potion lubrique.
Je sentais mon ventre se gonfler à nouveau et je ne pus retenir un long gémissement obscène alors que la chaleur âcre de ce mélange pisse-foutre envahissait tout mon être. Mes mains s’égarèrent sur mes seins durcis par l’excitation, les pinçant et les malaxant sans retenue pendant que je me faisais remplir comme une vulgaire chiennasse soumise.
Une fois totalement repue de ce breuvage infâme, il était temps pour moi d’expulser le tout devant un public avide de spectacles décadents. Je m’accroupis au-dessus d’une bassine prévue à cet effet et relâchai enfin tous les fluides qui s’étaient accumulés dans mon cul insatiable : « Regardez-moi bien jouir avec cette merde sortie tout droit de vos queues! », hurlai-je en riant tandis que le liquide chaud coulait entre mes cuisses tremblantes.
Cette soirée lavement anal restera gravée dans ma mémoire comme étant la plus indécente et inavouable expérience sexuelle qu’il m’ait été donné de vivre… Et pourtant, j’en redemande encore !
Le jeu sadique du lavement au lait et du plug anal : une humiliation publique insoutenable
Après les jeux dépravés auxquels j’avais participé lors de cette soirée mémorable, un membre du groupe précédent m’invita à tenter un ultime défi. Je n’étais pas en mesure de refuser quoi que ce soit après tout ce que j’avais déjà vécu ; mon addiction était trop puissante pour résister.
Il me fit allonger sur le dos et entreprit de me remplir d’une grande quantité de lait froid jusqu’à ce que je semble enceinte. Mon ventre gonflait sous l’afflux incessant, créant une pression difficilement supportable mais tellement excitante. Ensuite, sans prévenir ni demander mon consentement, il enfonça brutalement un énorme plug anal dans mon cul dilaté par les précédents lavements.
Ce bouchon gigantesque ajouta encore plus de pression à l’intérieur de moi alors qu’il était maintenu fermement par une corde tendue passant entre mes lèvres vaginales douloureusement séparées en deux. La corde remontait ensuite vers mes épaules pour être solidement liée.
Habillée à la hâte avec une robe fleurie ample cachant tant bien que mal ma condition déplorable, on me mit dans une voiture avant d’être abandonnée un mercredi matin en plein milieu de la ville.
Seule et au bord du gouffre, prête à exploser ou crier sous cette douleur exquise qui se mêlait étroitement au plaisir interdit ressenti chaque fois que le plug anal frottait contre mon clitoris en feu, je me retrouvais face à un dilemme insoutenable. Devrais-je céder à ma honte et supplier l’aide des passants innocents qui ne pouvaient s’empêcher de remarquer mon ventre rond ou devrais-je tenter de trouver une solution par moi-même?
La décision fut prise lorsque mes jambes flageolantes cédèrent sous la douleur lancinante et le poids du plug bien ancré dans mon cul avide. Je m’affalai sur le sol, les larmes aux yeux mais la chatte dégoulinante d’excitation. Les gens autour de moi s’étaient arrêtés pour observer ce spectacle obscène que j’offrais sans pudeur ni retenue.
« Putain! Regardez-là! », hurla un homme en me pointant du doigt tandis qu’une femme tentait désespérément de couvrir les yeux de son enfant terrorisé. Mon humiliation atteignit alors son paroxysme : j’étais exposée au grand jour comme une vulgaire bête sauvage aux pulsions incontrôlables.
Et pourtant… cette situation abjecte n’avait fait qu’exacerber encore davantage mon besoin irrationnel d’être souillée et humiliée au plus profond de moi-même…
Au milieu de cette foule médusée et choquée par mon comportement, je n’avais plus qu’une idée en tête : me libérer de ce plug anal qui torturait mon cul et ma chatte sans relâche. Je décidai alors d’assumer pleinement l’humiliation provoquée par ma situation.
« Vous voulez voir à quel point je suis une salope?! », hurlai-je aux passants tout en tirant sur la corde liée à mes épaules, faisant remonter le plug encore plus profondément dans mon rectum. Les visages se tordaient de dégoût autour de moi tandis que certains prenaient leurs distances pour éviter d’être souillés par les fluides corporels qui s’échappaient inéluctablement sous la pression exercée.
« Mais quelle chienne ! », cracha un homme en secouant la tête, incapable de cacher son mépris pour ma personne. « S’il te plaît… Aide-moi à retirer ce truc monstrueux… », implorai-je entre deux sanglots étouffés.
Finalement, un couple compatissant vint à ma rescousse et tenta tant bien que mal de m’aider à ôter cet instrument diabolique inséré si profondément entre mes fesses. Leurs mains tremblantes réussirent finalement à extraire le plug avec précaution alors que je poussais un hurlement mêlant douleur et soulagement intense.
Le liquide contenu dans mon ventre sortit alors tel un geyser nauséabond qui aspergea ceux ayant eu la mauvaise idée de rester trop près pendant l’extraction du bouchon infernal. « Oh mon Dieu, c’est dégueulasse! », cria une femme en essuyant précipitamment son visage souillé par le mélange de lait, de cyprine et d’autres substances indéfinissables.
Le couple qui m’avait sauvée me tendit un mouchoir pour que je puisse nettoyer tant bien que mal les traces de cette aventure humiliante avant de me conseiller vivement de rentrer chez moi. Les larmes aux yeux et le corps encore tremblant sous l’effet du choc émotionnel et physique subi, j’acquiesçai avec gratitude.
Je marchai péniblement jusqu’à mon appartement où je pus enfin m’affaler sur mon lit après avoir ôté ma robe souillée. Mon corps portait les stigmates des événements du jour : mes fesses étaient marquées par la forme du plug tandis que ma chatte était rouge et irritée à cause des frottements incessants provoqués par la corde.
Cette journée avait été celle d’une humiliation publique inimaginable ; mais au fond de moi-même, je savais qu’elle ne faisait qu’alimenter encore davantage cette addiction incontrôlable aux lavements anaux…
Recevoir un lavement devant plusieurs personnes n’est pour moi humiliant; Le risque, s’il en est un, est que l’un ou l’une émettent une subjection issue de leur fantasme personnel. Et là, c’est l’aventure à laquelle l’on échappe pas.