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La pluie dorée au bureau

Chapitre 1 : L’initiation à la pisse entre collègues

C’était une journée de travail ordinaire pour moi, rédactrice dans un blog érotique. J’étais habillée d’une manière plutôt conservatrice avec une jupe crayon noire arrivant juste au-dessus des genoux, un chemisier blanc soyeux boutonné jusqu’au col et des talons aiguilles noirs discrets. Mon corps était celui d’une femme aux courbes voluptueuses sans être exagérées ; mes seins étaient généreux mais fermes, mon ventre plat contrastait avec mes hanches larges qui menaient à des cuisses charnues.

Alors que je travaillais sur mon dernier article consacré à l’urophilie – cette pratique consistant à prendre plaisir avec les fluides urinaires -, je sentais une excitation grandissante en moi. Je n’avais jamais vraiment pensé à ce genre de pratiques auparavant, mais là quelque chose m’intriguait ; peut-être était-ce le côté interdit ou sale qui me faisait frissonner de désir ?

Mes pensées dérivèrent vers mon collègue Thomas, bel homme brun aux yeux bleus perçants dont j’avais toujours secrètement rêvé qu’il me prenne sauvagement sur notre lieu de travail même si cela n’était pas approprié… À la pause déjeuner, alors que nous étions tous deux assis autour d’un café dans la salle commune discutant banalités sur le temps et nos projets de week-end, je ne pus m’empêcher de lâcher un commentaire maladroit sur mon article en cours.

  • Tu sais que j’écris sur ce truc bizarre aujourd’hui… L’urophilie. Ça te parle ?

Thomas me regarda avec surprise mais aussi une pointe d’intérêt dans les yeux. Il répondit alors :

  • Oui bien sûr, c’est quand on prend son pied avec la pisse quoi…

Je rougis légèrement devant cette vulgarité assumée et poursuivis :

  • Ouais c’est ça… Et tu trouves ça comment toi ? Je veux dire, t’en penses quoi ?

Il réfléchit quelques instants avant de me lancer un sourire coquin.

  • Pourquoi pas après tout ? Les plaisirs interdits ont souvent quelque chose d’excitant non ? On pourrait essayer un jour si tu veux…

Mon cœur se mit à battre plus fort tandis qu’une bouffée de chaleur m’envahit. J’étais partagée entre l’envie irrépressible d’y goûter et la peur du jugement ou des conséquences qui pourraient découler d’un tel acte.

Cependant ma curiosité était trop forte et je finis par accepter sa proposition. Nous décidâmes donc ensemble des modalités de notre expérience intime : cela se passerait demain soir après le travail dans la salle des archives où nous serions sûrs de ne pas être dérangés…

Chapitre 2 : La salope assoiffée d’urine au travail

Le lendemain soir, nous nous retrouvâmes comme convenu dans la salle des archives. L’atmosphère était chargée d’électricité et de tension érotique. Thomas avait préparé une bâche en plastique qu’il étala sur le sol pour éviter les dégâts.

  • Alors, comment on fait ça ? demandai-je nerveusement.

Thomas me rassura avec un sourire malicieux :

  • Ne t’inquiète pas, laisse-toi juste guider par tes envies et suis mon rythme…

Il se mit à genoux devant moi et commença lentement à remonter ma jupe crayon jusqu’à mes hanches, révélant ainsi ma culotte blanche aux motifs floraux qui contrastait fortement avec l’acte pervers que nous allions commettre ensemble. Il embrassa tendrement mes cuisses tandis que sa main glissait sous ma culotte pour caresser mon sexe déjà humide d’excitation.

Soudainement, sans crier gare, il m’enleva complètement la culotte puis sortit son sexe gonflé de désir de son pantalon. Je ne pus retenir un gémissement de surprise et d’impatience face à cette vision obscène mais ô combien excitante !

Sans plus attendre Thomas m’allongea sur la bâche froide tout en s’accroupissant au-dessus de moi ; nos regards étaient emplis d’une luxure insoutenable alors qu’il positionnait sa queue raide près de mon visage avant de lancer :

  • Ouvre bien grand ta bouche salope… Tu vas boire toute ma pisse !

Je m’exécutai sans rechigner, mon cœur battant la chamade à l’idée de goûter enfin à ce plaisir interdit. Thomas commença alors à uriner doucement ; le jet doré s’écoula dans ma bouche grande ouverte tandis que je sentais cette chaleur envahir mon palais et couler le long de ma gorge.

Le goût salé et âcre me surprit mais ne me dégoûta pas autant que je l’aurais cru ; au contraire, cela renforçait encore plus mon excitation déjà palpable. J’avala goulûment chaque goutte qui sortait du membre dressé de Thomas tout en jouissant intérieurement des bruits obscènes que cela générait.

Une fois son flot tarit, il se releva pour venir m’écraser sa queue trempée sur mon visage marqué par les sévices subis : mes yeux étaient rougis par les éclaboussures d’urine tandis qu’une traînée jaunâtre maculait mes joues et mes lèvres gonflées.

Thomas me regarda avec un sourire satisfait avant de déclarer :

  • Putain t’es vraiment une bonne petite chienne soumise ! Maintenant nettoie-moi bien ça avec ta langue…

Sans hésiter une seule seconde, j’enroulai ma langue autour de son gland humide pour lécher consciencieusement toutes traces d’urine présentes sur sa verge tendue. Cette expérience inédite avait réveillé en moi des pulsions insoupçonnées jusqu’alors… La pluie dorée venait définitivement s’imposer comme une pratique à explorer davantage dans ma vie sexuelle.

Chapitre 3 : Baisés et trempés dans le jus doré

Après avoir nettoyé à la perfection le sexe de Thomas avec ma langue avide, je me relevai pour l’embrasser fougueusement ; nos langues se mêlant dans un ballet érotique où les saveurs salées et âcres de notre expérience urophile se rejoignaient.

Thomas glissa ses mains sous mon chemisier, déboutonnant rapidement les boutons avant d’y plonger sa tête pour lécher goulûment mes seins généreux. Ses dents mordillaient tendrement mes tétons durcis par l’excitation tandis qu’une main descendait vers mon sexe trempé.

Il introduit deux doigts en moi sans prévenir, me faisant pousser un cri rauque de plaisir mêlé à la surprise. Ses va-et-vient étaient brutaux et profonds, provoquant des bruits obscènes qui résonnaient dans la salle des archives déserte.

  • Oh oui… baise-moi avec tes doigts ! Ne t’arrête pas… gémissais-je entre deux halètements rauques.

Soudainement, Thomas retira sa main pour venir positionner son membre turgescent à l’entrée de mon vagin assoiffé. Sans attendre davantage il s’enfonça en moi d’un seul coup puissant qui me fit voir des étoiles tant le plaisir était intense !

Nos corps s’accouplaient frénétiquement sur cette bâche froide au milieu des cartons empilés tandis que nos gémissements emplissaient l’espace clos autour de nous. Les coups de reins vigoureux faisaient claquer nos chairs en cadence, nous entraînant tous deux vers un sommet de jouissance inégalée.

Finalement, dans un cri rauque mêlé à des spasmes incontrôlables, je sentis l’orgasme déferler en moi comme une vague puissante qui emportait tout sur son passage ; Thomas ne tarda pas à suivre le mouvement en se répandant chaudement au fond de mon ventre fébrile.

Nous restâmes ainsi quelques instants, haletants et transpirants, nos corps épuisés par cette expérience intense et hors du commun. Puis nous prîmes le temps de nettoyer les traces laissées par notre aventure urophile avant de remettre nos vêtements pour retourner chacun chez soi.

Cette soirée avait été marquée d’un sceau indélébile dans ma mémoire érotique ; désormais j’étais convaincue que les plaisirs interdits avaient quelque chose d’infiniment excitant… Et je savais que dorénavant il me serait difficile de résister à l’appel sulfureux de la pluie dorée…

Anna

Anna est une rédactrice qui écrit des histoires sensuelles et érotiques pour le blog populaire les-plaisirs.fr. Elle a une imagination débordante et aime explorer toutes sortes de fantasmes sexuels dans ses écrits. Ses expériences ne manqueront pas de vous faire vibrer et de vous laisser sur votre faim.

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