Dès qu’Anna se levait, son corps de salope réclamait du plaisir. Ses seins lourds et fermes étaient toujours couronnés par des tétons durs comme la pierre, ne demandant qu’à être mordillés. Sa chatte dégoulinante était déjà prête à accueillir n’importe quel objet qui lui procurerait ce dont elle avait besoin : une bonne baise.
Ce matin-là, Anna s’était habillée très élégamment dans sa robe de soie noire, cintrée à la taille pour mettre en valeur ses hanches voluptueuses. Ses bas résille couvraient ses jambes interminables avec un porte-jarretelles rouge sang attaché à un string en dentelle assorti qui peinait à cacher l’étendue humide de cette grotte affamée.
Baise urbaine et dépravation au bureau
En sortant de chez elle, elle aperçut le premier objet surdimensionné qui allait assouvir son désir ardent: un énorme lampadaire planté au milieu du trottoir. Sans attendre une seconde et profitant que personne ne soit aux alentours, Anna souleva sa robe légèrement exposant ainsi sa chatte affolée puis frotta vigoureusement son clitoris contre l’épaisse tige métallique froide jusqu’à atteindre un orgasme fulgurant provoquant des spasmes incontrôlables dans tout son corps tremblotant.
Arrivée au travail où aucun membre viril ou accessoire sexuel n’était hors-limites pour Anna la cochonne dépravée; dès lors qu’elle posa les yeux sur le stylo énorme de son collègue, elle ne put s’empêcher d’avoir l’eau à la bouche. Elle attendit que celui-ci quitte sa table pour lui emprunter son stylo et en profita pour se le fourrer discrètement dans sa chatte vorace qui n’en demandait pas moins.
Plus tard dans la journée, Anna décida de tromper encore une fois son mari par téléphone avec un inconnu rencontré sur une ligne coquine. Sa voix grave et sensuelle excitait notre nymphomane insatiable qui s’était enfermée aux toilettes du bureau; les cuisses écartées comme une pute en chaleur, elle se branlait frénétiquement pendant qu’elle imaginait tout ce qu’il pourrait lui faire subir si seulement il était là près d’elle.
La pause déjeuner arriva rapidement et Anna trouva refuge dans un parc isolé où elle a repéré cet arbre massif dont les branches basses étaient parfaites pour assouvir ses fantasmes sadomasochistes. Se hissant dessus avec agilité, notre héroïne salope attacha solidement ses poignets avant de nouer fermement cette corde autour de sa taille puis passa celle-ci entre ses fesses pour venir tirer violemment sur son string déjà trempé. Les veines gonflées du bois entamaient cruellement la chair tendre de cette insatiable perversitude tandis que des gémissements étouffés sortaient difficilement entre deux halètements rauques.
Sadomasochisme en plein air et plaisirs solitaires à domicile
En rentrant chez elle après une longue journée remplie d’exploits sexuels aussi obscènes que variés, Anna savoura l’idée même de pouvoir continuer ces saloperies sans risquer d’être surprise par son mari. Elle s’installa confortablement sur le canapé, les jambes écartées comme une chienne en rut et saisit la télécommande aux dimensions généreuses dans sa main droite.
Le regard pervers de cette nympho était fixé intensément sur l’écran plat alors que lentement mais avec détermination elle inséra cet objet incongru profondément dans son cul avide; chaque pression sur un bouton provoquant des ondes électriques qui traversaient tout son corps pour venir titiller ce trou du cul déjà bien dilaté. Lorsque finalement sa jouissance atteignit des sommets inexplorés, Anna se vida de tous ses fluides corporels à même le sol immaculé de leur salon feutré.
Ainsi allait la vie quotidienne d’Anna, cette femme commune qui ne pouvait s’empêcher de transformer chaque élément banal en source infinie de plaisir charnel ; toujours plus intense et obscène que la veille…
