Je suis une salope avide de sensations fortes et cette nuit, je me suis adonnée à mon péché mignon : la dilatation anale extrême. J’avais revêtu pour l’occasion ma mini-jupe préférée qui laisse entrevoir mes fesses rebondies ainsi qu’un string minuscule qui ne cache presque rien. Mes seins généreux étaient emprisonnés dans un soutien-gorge en dentelle noire assorti au reste de ma tenue.
Après des heures passées à insérer toutes sortes d’objets énormes et incongrus dans mon cul, j’ai atteint le summum du plaisir avec un gode gigantesque qui m’a donné des frissons sur tout le corps. Mon anus était maintenant béant, complètement déchiré par cet engin diabolique que je venais d’enfoncer profondément en moi jusqu’à ce que mes cris étouffés trahissent ma jouissance incontrôlable.
Mais voilà, aujourd’hui est aussi le jour où j’avais rendez-vous chez l’esthéticienne pour me faire blanchir l’anus. Je savais pertinemment que ça allait être embarrassant, mais il fallait y aller coûte que coûte !
Je portais donc un crop top blanc, légèrement transparent qui laissait entrevoir les contours de mon soutien-gorge en dentelle noire. Mon jean moulant était si serré qu’il épousait parfaitement mes formes généreuses et mettait en valeur le galbe de mes fesses. Malheureusement, il avait aussi absorbé une partie du jus d’anus que j’avais produit durant ma nuit de débauche extrême.
La débauche anale et l’esthéticienne choquée
Arrivée chez l’esthéticienne, je me suis allongée sur la table prévue à cet effet pour procéder au traitement. L’esthéticienne a commencé par baisser lentement mon jean moulant tout en découvrant avec horreur les traces humides qui imprégnaient sa surface.
« Qu’est-ce que c’est que ça ?! » s’exclama-t-elle d’un ton réprobateur.
Gênée et honteuse, je n’ai pas pu retenir un soupir profond avant de lui avouer : « J’ai passé ma nuit à dilater mon cul avec des objets énormes… Je pensais pouvoir masquer l’état dans lequel se trouve mon anus mais visiblement ce n’était pas suffisant… »
L’esthéticienne resta bouche bée devant cette confession crue, ne sachant comment réagir face à une situation pareille. Elle décida finalement de poursuivre son travail malgré ses réserves évidentes quant à l’état actuel de mon orifice anal béant et abîmé par les sévices subis lors de ma soirée perverse.
Tout au long du traitement, elle ne put s’empêcher d’échanger quelques regards désapprobateurs avec moi tandis que je rougissais de honte, prise en flagrant délit d’obsession anale incontrôlable.
Le produit de blanchiment, habituellement juste désagréable et légèrement irritant sur une peau intacte, m’a provoqué des sensations atroces. Mes chairs meurtries et abîmées par la dilatation extrême ont été envahies d’une douleur lancinante dès que l’esthéticienne a commencé à appliquer le produit. C’était comme si un millier d’aiguilles brûlantes s’enfonçaient sans pitié dans mon anus déjà malmené.
L’esthéticienne ne semblait ressentir aucune compassion envers moi, au contraire même : elle affichait une certaine satisfaction sadique devant ma souffrance manifeste. Elle prenait un malin plaisir à étaler généreusement cette substance chimique caustique sur chaque centimètre de mon orifice anal endolori. Ses mouvements étaient précis et méthodiques pour maximiser les effets du traitement.
Douleur et humiliation : quand le blanchiment d’anus tourne au cauchemar
Mon anus était tellement désensibilisé suite aux sévices de la veille que je n’ai réalisé qu’après quelques instants qu’elle avait introduit non pas un ni deux mais trois doigts en moi! Profitant de mes nerfs anesthésiés pour mieux aplanir les contours déchiquetés de mon anus ravagé, elle continuait imperturbablement son travail tout en faisant preuve d’une absence totale de remords face à mes gémissements plaintifs.
Je sentais ses doigts s’enfoncer toujours plus profondément en moi jusqu’à ce qu’ils atteignent finalement le début du poing fermé qui commençait alors à se frayer un chemin vers l’intérieur. Mon corps tremblotant était parcouru de spasmes incontrôlables, mais la douleur avait fini par atteindre un niveau tel que je ne pouvais même plus crier en réaction à cette nouvelle humiliation.
L’esthéticienne continuait d’appliquer le produit blanchissant sans relâche tandis que sa main s’enfonçait inexorablement dans mon anus écartelé. Chaque centimètre gagné provoquait une décharge électrique de souffrance qui traversait l’ensemble de mon être, me faisant réaliser avec stupeur jusqu’où ma quête obsessionnelle du plaisir anal m’avait conduite.
Alors que la séance touchait à sa fin, l’esthéticienne a finalement retiré son poing de mon anus dans un bruit horrible de succion qui m’a fait frissonner d’humiliation. Elle m’a ensuite expliqué, sans aucune trace d’empathie, qu’elle avait utilisé cette méthode pour protéger l’intérieur déjà endommagé de mon cul en ne blanchissant que la partie visible de ma rondelle.
Honteuse et humiliée, j’ai réussi tant bien que mal à enfiler mon jean trempé avant de quitter précipitamment le salon. Boitant légèrement sous l’effet des douleurs persistantes, je devais affronter les regards curieux et perplexes des passants sur le chemin du retour chez moi. Mon pantalon humide ne manquait pas d’attirer leur attention tandis que je tentais désespérément de cacher ma gêne.
Après quelques jours passés à panser mes plaies physiques et mentales suite à cette expérience traumatisante, j’ai toutefois pu constater avec satisfaction les résultats obtenus grâce au traitement : mon anus était désormais parfaitement blanchi et prêt à être souillé une fois encore par mes envies débridées.
Malgré la honte ressentie lors de cet épisode peu glorieux chez l’esthéticienne, il me fallait reconnaître une certaine admiration pour le travail accompli… Et surtout admettre que cela n’avait pas éteint ni même assouvi ma faim insatiable d’éprouver toujours plus profondément ces plaisirs tabous auxquels je voue une obsession inavouable.