Ce matin-là, je me suis réveillée avec une idée diabolique en tête. J’avais acheté une ceinture anti-sexe spéciale équipée de deux jouets quasi invisibles qui me stimuleraient tout au long de la journée. Une fois habillée d’une mini-jupe et un haut moulant, j’enfilai cette ceinture perverse avant de partir travailler.
La ceinture diabolique : supplice orgasmique au bureau
Dès le début de ma journée, les vibrations discrètes des jouets placés dans mon anus et mon vagin provoquaient en moi une excitation extrême. Chaque pas que je faisais me rappelait leur présence en moi. Arrivée au bureau, je pris place à mon poste sans pouvoir cacher mes gémissements étouffés à chaque mouvement.
Ma collègue Sophie s’approcha alors pour discuter avec moi :
« Ça va ? Tu as l’air bizarre aujourd’hui. »
Je lui répondis du mieux que je pouvais malgré les spasmes qui déformaient mon visage.
« C’est… rien… juste un peu fatiguée. »
Au fur et à mesure que la journée avançait, il était de plus en plus difficile pour moi de dissimuler les effets des vibrations sur mon corps. Mon cul se contractait régulièrement autour du plug anal tandis que le gode vibrant massait impitoyablement ma chatte trempée. Je sentais mes orifices se dilater sous l’action incessante des jouets.
À l’heure du déjeuner, ne tenant plus face aux regards interrogateurs de mes collègues devant mes soupirs inexpliqués, je profitai d’une pause pour me réfugier aux toilettes. Ma culotte était trempée de mouille, je la retirai et l’essuyai tant bien que mal avant de la remettre en place.
De retour à mon poste, rien ne s’était arrangé : au contraire, les jouets semblaient redoubler d’intensité. Les vibrations étaient si puissantes que j’en avais du mal à rester assise sur ma chaise. Mon anus se dilatait encore plus et ma chatte dégoulinait désormais sur mes cuisses.
Sophie me lança un regard soupçonneux :
« Tu es sûre que ça va ? On dirait que tu te retiens de crier. »
Je lui répondis avec difficulté :
« Oui… juste des crampes. »
Dans l’après-midi, j’étais contrainte de faire une seconde sortie pour me réfugier aux toilettes. Les vibrations étaient si intenses que je ne pouvais plus les supporter en silence. Alors que je quittais mon bureau en traînant des pieds, Sophie me suivit discrètement.
Sophie, la collègue sadique : jeux de pouvoir et humiliation
Une fois dans la cabine des toilettes, je retirai ma culotte trempée et m’adossai contre le mur, essayant de reprendre mon souffle. C’est à ce moment-là que Sophie frappa violemment à la porte :
« Je te tiens ! Ça suffit les mensonges ! Montre-moi ce qui t’excite tant. »
Prise au dépourvu et sans échappatoire, j’ouvris la porte pour lui montrer mes cuisses ruisselantes de cyprine et ma culotte trempée que je tenais encore entre mes mains tremblantes.
Sophie resta bouche bée devant cette scène obscène :
« Mais… qu’est-ce qui te fait ça ?! Tu es complètement folle ! »
Je lui avouai alors tout : la ceinture infernale équipée des deux jouets vibrants insérés depuis le matin dans mon anus et ma chatte humide.
Stupéfaite mais intriguée, elle demanda :
« Et tu supportes ça toute la journée ? »
Je hochai difficilement la tête.
« Cela doit être terriblement excitant… montre-les moi ces jouets. »
N’y tenant plus face à son insistance perverse, je relevai ma mini-jupe pour exposer fièrement mes orifices dilatés par les deux objets diaboliques qui me torturaient depuis le matin. Sophie observa, fascinée, les jouets vibrants qui disparaissaient en moi.
« Puisque tu sembles tant aimer ça, je vais m’amuser un peu avec toi », dit-elle en souriant cruellement. Elle s’empara de la télécommande des jouets et augmenta d’un coup la vitesse des vibrations à leur maximum.
Je poussai alors un cri de douleur mêlé de plaisir tellement l’intensité était insupportablement délicieuse. Mon anus se contractait frénétiquement autour du plug tandis que ma chatte engloutissait goulûment le gode vibrant. Mes jambes tremblaient sous cette nouvelle torture infligée par ma collègue sadique.
Sophie riait devant mon supplice:
« Alors on aime ça être une petite salope au travail ? Avoue que tu mouilles encore plus maintenant ! »
Je ne pus que confirmer ses dires dans un hoquet étouffé :
« Oui… oui… Je suis une salope et j’aime ça… »
Sophie, satisfaite de ma réponse, continua à jouer avec les vibrations en variant l’intensité. Je sentais mon corps sur le point d’exploser sous cette torture excitante.
« Je veux que tu jouisses devant moi comme la petite chienne que tu es », exigea-t-elle.
Mes jambes flageolantes et mes orifices étirés par les jouets vibrants ne pouvaient plus résister à tant de plaisir. Dans un cri rauque je me libérai finalement : des jets puissants de cyprine jaillirent de ma chatte tandis que mon anus se resserrait spasmodiquement autour du plug anal.
Épuisée et dégoulinante, je m’affalai sur le sol des toilettes, soulagée d’avoir été libérée du supplice imposé par cette ceinture infernale. Sophie me regarda triomphante :
« Ça t’apprendra à vouloir jouer avec tes fantasmes au travail ! »
Le reste de la journée fut une épreuve pour moi, marchant difficilement après cette expérience humiliante et perverse. Mais malgré tout cela, je ne pus m’empêcher de repenser aux sensations éprouvées grâce à cette ceinture diabolique qui avait fait naître en moi des plaisirs inavouables…