Notre héroïne se nomme Brigitte. Elle est totalement accro à l’anal et elle n’a pas peur d’avouer son addiction. Son cul bien rebondi a été élargi avec le temps par des insertions toujours plus osées et risquées.
Un jour, alors qu’elle était seule chez elle dans sa chambre vêtue d’une robe moulante qui laisse apparaître ses fesses juteuses ainsi que les contours de sa chatte gonflée prête pour une séance hardcore d’autosodomie, Brigitte décida de repousser encore plus loin ses limites. Elle aligna sur son lit plusieurs godes monstrueux et plugs aux formes variées, toutes destinées à être englouties par son trou du cul béant.
Sans perdre une minute, notre cochonne commença par s’enfoncer un gode couleur chair long comme son bras jusqu’à ce qu’il disparaisse complètement dans les abysses rectales. Alors que son anus gobait goulûment cet objet phallique sans broncher, la sensation provoqua un râle obscène qui s’échappa de ses lèvres pulpeuses : « Oh putain ! Mon cul avale tout ce que je lui donne ! »
Mais cela ne suffisait pas à combler cette nymphomane anale ; elle attrapa ensuite un plug épais comme une canette avec une base large en forme de diamant pour éviter qu’il ne soit absorbé entièrement par les entrailles voraces dont il allait faire connaissance. Avec détermination mais non sans difficultés vu la taille de l’objet, Brigitte parvint à s’introduire ce plug démesuré dans le rectum. « Oh bordel ! J’ai l’impression que mon trou du cul va exploser ! » hurla-t-elle en même temps qu’un vent sulfureux lui échappait.
N’écoutant pas les signaux d’alerte lancés par son corps et aveuglée par sa soif insatiable de dilatation anale, la salope enfila un troisième gode encore plus gros ; cette fois-ci avec des boules striées pour stimuler encore davantage sa muqueuse rectale déjà mise à rude épreuve. Le tout était coiffé d’une tête proéminente qui n’avait rien à envier aux glands turgescents de certains étalons rencontrés au cours de ses pérégrinations sexuelles.
C’est là que la situation devint drôlement embarrassante : après avoir engouffré goulûment ces différents objets dans son anus avide, notre héroïne se rendit compte qu’elle avait atteint ses limites physiques… mais surtout celles du retrait desdits accessoires ! En effet, malgré tous ses efforts pour expulser ces envahisseurs hors normes – incluant des contorsions dignes d’une gymnaste olympique et une séance désespérée sur les toilettes -, le dernier gode refusait obstinément de sortir et faisait barrage aux autres prétendants coincés derrière lui.
La panique commençait sérieusement à monter chez Brigitte. Elle imaginait déjà la scène rocambolesque lorsqu’elle expliquerait sa mésaventure au médecin ou pire encore, si elle devrait appeler les pompiers pour la sortir de cette situation inconfortable et humiliante. Dans un dernier effort désespéré, elle s’allongea sur le sol froid de sa salle de bains, souleva ses jambes en l’air et tenta une ultime poussée titanesque.
C’est alors que le miracle tant attendu se produisit : dans un bruit indescriptible mêlant explosion anale et libération d’une créature des profondeurs marines, les godes furent expulsés avec force hors du cul martyrisé de notre héroïne ! La joie intense qui suivit fut rapidement accompagnée par l’hilarité provoquée par la vision des objets éparpillés autour d’elle, tels les débris d’un champ de bataille sexuel.
Moralité : même lorsqu’on est accro à l’anal comme Brigitte, il est essentiel de connaître ses limites… sous peine d’être confronté à des situations aussi drôles qu’embarrassantes !