C’était une nuit comme les autres, à la seule différence que j’avais décidé de réaliser l’un de mes fantasmes les plus obscènes et pervers. Mon amant était là, complètement soumis à moi, prêt à subir toutes sortes d’humiliations pour assouvir mes désirs les plus inavouables.
Tout a commencé lorsque j’ai sorti un ensemble de lingerie fine composé d’un soutien-gorge en dentelle rouge, d’un porte-jarretelles assorti et d’une paire de bas résilles. Je l’ai obligé à se déshabiller devant moi tout en lui disant des mots crus pour le rabaisser encore plus. « Allez salope! Dépêche-toi de te foutre à poil! » Son excitation grandissait tandis qu’il ôtait ses vêtements sous mes yeux vicieux.
Féminisation forcée : la métamorphose humiliante de mon amant soumis
Une fois nu comme un ver, je lui ai tendu la lingerie en lui ordonnant de la mettre sans broncher. J’étais aux anges en le voyant ainsi paré, avec ses attributs masculins comprimés dans cette tenue si féminine. Il portait également une perruque blonde qui contrastait avec sa barbe naissante.
Il était temps maintenant de passer aux choses sérieuses: je voulais l’emmener faire le tour du quartier habillée ainsi et m’exhiber fièrement avec ma pute bien dressée auprès des passants ébahis ou outrés… peu importe leur réaction; cela ne ferait qu’alimenter notre plaisir coupable.
« Maintenant, on va aller se promener ma chienne… et tu vas te comporter comme une vraie petite pute en chaleur devant tout le monde. » Je l’ai traîné dehors, tenant fermement la laisse fixée à son collier.
Dans la rue, les regards se posaient sur nous avec dégoût ou fascination. Certains s’arrêtaient pour nous insulter ou commenter notre exhibition perverse: « Regardez-moi ces deux-là! Quelle salope cette travestie! » Mon amant rougissait de honte mais je pouvais sentir que cela l’excitait encore plus. Moi-même je ne pouvais m’empêcher d’être trempée d’excitation en le forçant à subir cette humiliation publique.
Plaisirs obscènes en public : quand l’humiliation devient un aphrodisiaque incontournable
Après avoir fait le tour du quartier et recueilli un nombre suffisant d’injures et de commentaires salaces, j’ai décidé qu’il était temps de passer aux choses sérieuses : lui faire sucer des queues inconnues dans une ruelle sombre. Je me suis approchée d’un groupe d’hommes qui semblaient déjà bien éméchés par leur soirée arrosée.
« Hey vous là-bas! Ça vous dit une petite pipe offerte par ma pute? Elle adore ça la salope! » Les hommes ont ri grassement avant que l’un d’eux décide finalement de sortir sa queue gonflée de désirs obscènes. J’ai forcé mon amant à genoux devant cet homme lubrique tout en lui donnant des instructions crues pour bien satisfaire ce nouveau partenaire: « Allez suce-le bien fort ma chienne… montre-lui ce que tu sais faire avec ta bouche! »
Mon amant n’avait pas vraiment eu le choix; il s’était exécuté tant bien que mal sous les rires et les insultes des hommes. Cette scène était si dégradante et perverse… et pourtant, je voulais qu’il aille encore plus loin dans l’humiliation! Après avoir fait jouir cet inconnu dans sa bouche de salope soumise, j’ai ordonné à mon amant de lécher le sperme chaud qui avait coulé sur le sol.
« Nettoie tout ça avec ta langue ma petite pute! Je veux pas voir une seule trace de foutre! » Il obtempéra sans protester, laissant sa langue gourmande nettoyer chaque centimètre carré du trottoir souillé.
Urophilie et exhib’ : une balade nocturne entre dépravation et avilissement
Cette soirée de débauche et d’humiliation n’était pas encore terminée, je voulais aller encore plus loin dans mes perversions. Je me suis soudainement rappelé mon fantasme d’urophilie et j’ai décidé qu’il était temps pour mon amant féminisé de goûter à ma pisse.
« Tu pensais qu’on en avait fini, hein? Eh bien non! J’ai une petite surprise pour toi avant qu’on rentre. » Mes yeux brillants de malice ne lui présageaient rien de bon mais il savait pertinemment qu’il n’avait pas le choix.
Je l’ai traîné jusqu’à un coin discret où personne ne pourrait nous surprendre puis j’ai remonté ma robe, exposant ainsi ma culotte en dentelle déjà humide d’excitation. « Mets-toi à genoux devant moi, la bouche ouverte grande comme ça… tu vas boire ma pisse directement à la source! »
Il a obéi docilement alors que je me préparais à assouvir ce tabou extrême avec lui. J’écarte légèrement les cuisses et commence à uriner abondamment dans sa bouche grande ouverte qui se remplit peu à peu du liquide chaud et doré.
« Ne renverse rien! Avale tout comme une bonne chienne! » Mon ton autoritaire ajoute encore un niveau supplémentaire d’humiliation tandis que son visage est aspergé par mon jet puissant. Il tente tant bien que mal de tout avaler mais quelques gouttes rebelles coulent invariablement le long de ses joues.
Une fois vidée entièrement, je m’écarte en ricanant méchamment. « Alors, c’était bon ma pisse? J’espère que ça t’a plu parce qu’on est loin d’en avoir terminé… »
Satisfaites de l’ampleur de son humiliation et mes fantasmes réalisés, je le ramène à la maison pour continuer nos jeux érotiques et dépravés dans l’intimité de notre chambre. Je n’ai pas fini de lui faire subir toutes sortes d’épreuves obscènes et douloureuses afin d’assouvir mon insatiable appétit pour les tabous extrêmes…
