Un soir, après une longue journée de travail, je rentrais chez moi avec une envie dévorante de me livrer à des actes obscènes et pervers. Je portais un mini-short en jean qui laissait entrevoir mes fesses généreuses et un string noir en dentelle. Mon amant était déjà là, vêtu d’une robe moulante qui mettait en valeur ses formes féminines qu’il avait adoptées pour notre petite séance.
« Alors salope, t’es prêt à te faire enculer comme la chienne que tu es ? », lui lançai-je vulgairement alors qu’il se tenait devant moi, le regard soumis.
Il acquiesça timidement avant d’échanger quelques mots crûs: « Oui maîtresse, j’ai hâte que vous me défonciez le cul jusqu’à ce que je supplie grâce. »
Je l’attrapai par les cheveux et le poussai sur le lit où il s’allongea face cachée contre l’oreiller. Je sortis mon gode-ceinture imposant pour bien lui élargir son petit trou serré. Une fois équipée et lubrifiée comme il se doit, je présentais mon engin à sa bouche ouverte.
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« Suce-le bien salope », ordonnais-je brutalement pendant qu’il obéissait sans broncher.
Après avoir bien humidifié cette bite artificielle avec sa bouche baveuse, je plaçai ma main dans son dos pour la pétrir avec force puis descendit vers ses fesses rebondies sous sa robe légèrement remontée. Je les écartais brutalement pour exposer son anus et y crachai dessus copieusement.
« Tu vas morfler, chienne », dis-je en riant avant de lui enfoncer le gode-ceinture dans l’anus sans aucune délicatesse. Il gémit de douleur et de plaisir alors que je commençais à le sodomiser avec force.
Son trou du cul s’écartait sous la pression du gode imposant, laissant place à une dilatation extrême. Je prenais un malin plaisir à observer cette scène tout en l’insultant grossièrement : « T’aime ça te faire enculer comme une pute ? T’es qu’une sale chienne ! »
Les insultes redoublèrent d’intensité tandis que nos corps étaient couverts de sueur et que mon amant gémissait toujours plus fort, ses cris étouffés par l’oreiller mordu avec ferveur. Les va-et-vient dans son anus se firent plus rapides, plus brutaux encore.
Je continuai à le sodomiser sans aucune pitié, et l’idée de pousser encore plus loin cette humiliation m’excitait terriblement. Je retirai brusquement mon gode-ceinture de son anus béant pour en sortir un autre, bien plus long et imposant.
L’Amant Féminisé Confronté à l’Insondable : Une Sodomie Hors-Normes
« Tu croyais que j’allais te soulager en te branlant ? Oh non, ma salope, on va aller beaucoup plus loin ! », dis-je avec un sourire diabolique.
Je présentais ce nouveau gode monstrueux devant ses yeux écarquillés par la peur et l’excitation. Il était si long qu’il semblait irréaliste d’envisager une telle insertion.
« T’es prêt à goûter à ça ? », lui demandai-je vulgairement avant de lui faire lécher cet engin démesuré. Sa langue parcourait timidement la surface du gode géant alors qu’il tentait tant bien que mal d’en avaler une partie.
Une fois lubrifié par sa propre salive, je positionnai le monstre sur son trou dilaté qui n’était même pas assez large pour accueillir cette bête infernale. Sans attendre sa réponse, je commençait à enfoncer le gode dans son anus béant jusqu’à atteindre des profondeurs insoupçonnées.
Les cris étouffés se transformèrent rapidement en hurlements de douleur mêlée au plaisir alors que j’explorais les limites physiques de son corps avec ce nouvel outil diabolique. Entre chaque poussée, je le rabaissais et l’humiliais en lui crachant des mots méprisants : « T’es vraiment qu’un déchet, à te faire défoncer comme ça ! J’en ai jamais vu une aussi soumise que toi ! »
Lorsque je sentis que le gode avait atteint ses intestins, son corps se tendit sous la douleur intense. Les larmes coulaient sur son visage tandis que je continuais de le sodomiser profondément.
« Allez chienne, montre-moi que tu aimes ça ! », hurlai-je alors que j’accélérais encore les va-et-vient dans cette cavité insensée.
Finalement, après avoir subi cet assaut sans répit pendant plusieurs longues minutes, mon amant ne put s’empêcher d’éjaculer sur les draps du lit dans un mélange de honte et de plaisir coupable. Je retirai lentement ce gode monstrueux tout en observant la destruction causée par ma folie perverse.
Son anus était désormais complètement ravagé et béant. La vision de cette scène me fit jouir d’une puissance inouïe alors que je savourais ce moment sombre et tabou qui restera gravé dans nos mémoires pour toujours.
